Posté à 12h00
                Isabelle Ducas La Presse             

Ce résident de La Petite-Patrie habite à quelques mètres du chantier de construction du futur centre de transit Bellechasse de la Société de transport de Montréal (STM), près de l’avenue Saint-Laurent. “Même avec des écouteurs ou des bouchons d’oreilles, il n’y a aucun moyen de bloquer le niveau de décibels provoqué par ces alarmes”, se plaint Mme Brashaw. Cela prend 12 heures par jour, cinq ou six jours par semaine. Je flippe, c’est impossible de se concentrer sur quoi que ce soit. Ça gâche la vie des gens ! » Malgré les fenêtres fermées, vous pouvez clairement entendre le “bip-bip-bip” des alarmes sonores de secours lorsque vous êtes à l’intérieur de votre appartement. Lors de rencontres organisées par la STM avec les citoyens du secteur, plusieurs résidents se sont plaints de cette situation qui empoisonne leur quotidien. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE Hugues Montfroy habite à proximité du chantier du futur garage de la STM. “Ça n’a pas de sens qu’un chantier soit situé à proximité d’un quartier aussi densément peuplé”, se plaint Hugues Montfroy, un ancien habitant du quartier qui a déménagé, en partie à cause des désagréments occasionnés par le chantier. . Cependant, M. Montfroy continue d’approcher la STM et d’autres instances pour obtenir des changements. Il a même contacté des avocats car il veut agir collectivement, avec une vingtaine d’autres citoyens.

Son de cricket

Ce qui choque ces citoyens, c’est qu’il existe désormais une alternative aux alarmes de secours sonores : les alarmes moins intrusives à large bande qui émettent un criquet, « pschitt pschitt ». Plusieurs véhicules municipaux sont maintenant équipés d’alarmes à large bande à Montréal. Pourquoi la STM n’exigeait-elle pas de telles alarmes pour les camions et la machinerie lourde sur son chantier de construction ? « Nous avons plus de 70 sous-traitants, en plus des fournisseurs des sous-traitants. Dans ce contexte, il est impossible d’imposer des conditions concernant les alarmes de recul à tous les camions », a déclaré la porte-parole de l’agence, Amélie Régis, dans une réponse par courrier électronique. « Plusieurs options ont été évaluées pour limiter les alarmes de recul. Cependant, la plupart de ces options n’étaient pas durables et risquaient d’avoir d’autres impacts. » Nous rappelons régulièrement à l’entrepreneur de tout mettre en œuvre pour limiter les impacts sonores. Évidemment, on ne peut négliger la sécurité sur le chantier, d’où l’importance des alarmes. Amélie Régis, porte-parole de la STM, dans un courriel Concernant les bruits qui se répercutent avant 7 h, Mme Régis affirme que la STM « avise systématiquement l’entrepreneur pour lui rappeler les règles en vigueur et respecter le voisinage, lorsqu’une telle situation est signalée ». Mais l’entreprise de camionnage estime que “les camions de construction peuvent arriver à proximité du chantier avant 7h00”, selon son site internet. Cependant, selon le porte-parole, les bruits entendus la semaine dernière avant 7h du matin dans le secteur ne provenaient pas du chantier de construction de la STM.


title: “Chantier Stm Des Alarmes De Secours Qui G Chent La Vie Des R Sidents Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-17” author: “David Currie”


Posté à 12h00
                Isabelle Ducas La Presse             

Ce résident de La Petite-Patrie habite à quelques mètres du chantier de construction du futur centre de transit Bellechasse de la Société de transport de Montréal (STM), près de l’avenue Saint-Laurent. “Même avec des écouteurs ou des bouchons d’oreilles, il n’y a aucun moyen de bloquer le niveau de décibels provoqué par ces alarmes”, se plaint Mme Brashaw. Cela prend 12 heures par jour, cinq ou six jours par semaine. Je flippe, c’est impossible de se concentrer sur quoi que ce soit. Ça gâche la vie des gens ! » Malgré les fenêtres fermées, vous pouvez clairement entendre le “bip-bip-bip” des alarmes sonores de secours lorsque vous êtes à l’intérieur de votre appartement. Lors de rencontres organisées par la STM avec les citoyens du secteur, plusieurs résidents se sont plaints de cette situation qui empoisonne leur quotidien. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE Hugues Montfroy habite à proximité du chantier du futur garage de la STM. “Ça n’a pas de sens qu’un chantier soit situé à proximité d’un quartier aussi densément peuplé”, se plaint Hugues Montfroy, un ancien habitant du quartier qui a déménagé, en partie à cause des désagréments occasionnés par le chantier. . Cependant, M. Montfroy continue d’approcher la STM et d’autres instances pour obtenir des changements. Il a même contacté des avocats car il veut agir collectivement, avec une vingtaine d’autres citoyens.

Son de cricket

Ce qui choque ces citoyens, c’est qu’il existe désormais une alternative aux alarmes de secours sonores : les alarmes moins intrusives à large bande qui émettent un criquet, « pschitt pschitt ». Plusieurs véhicules municipaux sont maintenant équipés d’alarmes à large bande à Montréal. Pourquoi la STM n’exigeait-elle pas de telles alarmes pour les camions et la machinerie lourde sur son chantier de construction ? « Nous avons plus de 70 sous-traitants, en plus des fournisseurs des sous-traitants. Dans ce contexte, il est impossible d’imposer des conditions concernant les alarmes de recul à tous les camions », a déclaré la porte-parole de l’agence, Amélie Régis, dans une réponse par courrier électronique. « Plusieurs options ont été évaluées pour limiter les alarmes de recul. Cependant, la plupart de ces options n’étaient pas durables et risquaient d’avoir d’autres impacts. » Nous rappelons régulièrement à l’entrepreneur de tout mettre en œuvre pour limiter les impacts sonores. Évidemment, on ne peut négliger la sécurité sur le chantier, d’où l’importance des alarmes. Amélie Régis, porte-parole de la STM, dans un courriel Concernant les bruits qui se répercutent avant 7 h, Mme Régis affirme que la STM « avise systématiquement l’entrepreneur pour lui rappeler les règles en vigueur et respecter le voisinage, lorsqu’une telle situation est signalée ». Mais l’entreprise de camionnage estime que “les camions de construction peuvent arriver à proximité du chantier avant 7h00”, selon son site internet. Cependant, selon le porte-parole, les bruits entendus la semaine dernière avant 7h du matin dans le secteur ne provenaient pas du chantier de construction de la STM.


title: “Chantier Stm Des Alarmes De Secours Qui G Chent La Vie Des R Sidents Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-16” author: “Kim Mack”


Posté à 12h00
                Isabelle Ducas La Presse             

Ce résident de La Petite-Patrie habite à quelques mètres du chantier de construction du futur centre de transit Bellechasse de la Société de transport de Montréal (STM), près de l’avenue Saint-Laurent. “Même avec des écouteurs ou des bouchons d’oreilles, il n’y a aucun moyen de bloquer le niveau de décibels provoqué par ces alarmes”, se plaint Mme Brashaw. Cela prend 12 heures par jour, cinq ou six jours par semaine. Je flippe, c’est impossible de se concentrer sur quoi que ce soit. Ça gâche la vie des gens ! » Malgré les fenêtres fermées, vous pouvez clairement entendre le “bip-bip-bip” des alarmes sonores de secours lorsque vous êtes à l’intérieur de votre appartement. Lors de rencontres organisées par la STM avec les citoyens du secteur, plusieurs résidents se sont plaints de cette situation qui empoisonne leur quotidien. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE Hugues Montfroy habite à proximité du chantier du futur garage de la STM. “Ça n’a pas de sens qu’un chantier soit situé à proximité d’un quartier aussi densément peuplé”, se plaint Hugues Montfroy, un ancien habitant du quartier qui a déménagé, en partie à cause des désagréments occasionnés par le chantier. . Cependant, M. Montfroy continue d’approcher la STM et d’autres instances pour obtenir des changements. Il a même contacté des avocats car il veut agir collectivement, avec une vingtaine d’autres citoyens.

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Ce qui choque ces citoyens, c’est qu’il existe désormais une alternative aux alarmes de secours sonores : les alarmes moins intrusives à large bande qui émettent un criquet, « pschitt pschitt ». Plusieurs véhicules municipaux sont maintenant équipés d’alarmes à large bande à Montréal. Pourquoi la STM n’exigeait-elle pas de telles alarmes pour les camions et la machinerie lourde sur son chantier de construction ? « Nous avons plus de 70 sous-traitants, en plus des fournisseurs des sous-traitants. Dans ce contexte, il est impossible d’imposer des conditions concernant les alarmes de recul à tous les camions », a déclaré la porte-parole de l’agence, Amélie Régis, dans une réponse par courrier électronique. « Plusieurs options ont été évaluées pour limiter les alarmes de recul. Cependant, la plupart de ces options n’étaient pas durables et risquaient d’avoir d’autres impacts. » Nous rappelons régulièrement à l’entrepreneur de tout mettre en œuvre pour limiter les impacts sonores. Évidemment, on ne peut négliger la sécurité sur le chantier, d’où l’importance des alarmes. Amélie Régis, porte-parole de la STM, dans un courriel Concernant les bruits qui se répercutent avant 7 h, Mme Régis affirme que la STM « avise systématiquement l’entrepreneur pour lui rappeler les règles en vigueur et respecter le voisinage, lorsqu’une telle situation est signalée ». Mais l’entreprise de camionnage estime que “les camions de construction peuvent arriver à proximité du chantier avant 7h00”, selon son site internet. Cependant, selon le porte-parole, les bruits entendus la semaine dernière avant 7h du matin dans le secteur ne provenaient pas du chantier de construction de la STM.


title: “Chantier Stm Des Alarmes De Secours Qui G Chent La Vie Des R Sidents Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-19” author: “Jeffery Ellis”


Posté à 12h00
                Isabelle Ducas La Presse             

Ce résident de La Petite-Patrie habite à quelques mètres du chantier de construction du futur centre de transit Bellechasse de la Société de transport de Montréal (STM), près de l’avenue Saint-Laurent. “Même avec des écouteurs ou des bouchons d’oreilles, il n’y a aucun moyen de bloquer le niveau de décibels provoqué par ces alarmes”, se plaint Mme Brashaw. Cela prend 12 heures par jour, cinq ou six jours par semaine. Je flippe, c’est impossible de se concentrer sur quoi que ce soit. Ça gâche la vie des gens ! » Malgré les fenêtres fermées, vous pouvez clairement entendre le “bip-bip-bip” des alarmes sonores de secours lorsque vous êtes à l’intérieur de votre appartement. Lors de rencontres organisées par la STM avec les citoyens du secteur, plusieurs résidents se sont plaints de cette situation qui empoisonne leur quotidien. PHOTO MARCO CAMPANOZZI, LA PRESSE Hugues Montfroy habite à proximité du chantier du futur garage de la STM. “Ça n’a pas de sens qu’un chantier soit situé à proximité d’un quartier aussi densément peuplé”, se plaint Hugues Montfroy, un ancien habitant du quartier qui a déménagé, en partie à cause des désagréments occasionnés par le chantier. . Cependant, M. Montfroy continue d’approcher la STM et d’autres instances pour obtenir des changements. Il a même contacté des avocats car il veut agir collectivement, avec une vingtaine d’autres citoyens.

Son de cricket

Ce qui choque ces citoyens, c’est qu’il existe désormais une alternative aux alarmes de secours sonores : les alarmes moins intrusives à large bande qui émettent un criquet, « pschitt pschitt ». Plusieurs véhicules municipaux sont maintenant équipés d’alarmes à large bande à Montréal. Pourquoi la STM n’exigeait-elle pas de telles alarmes pour les camions et la machinerie lourde sur son chantier de construction ? « Nous avons plus de 70 sous-traitants, en plus des fournisseurs des sous-traitants. Dans ce contexte, il est impossible d’imposer des conditions concernant les alarmes de recul à tous les camions », a déclaré la porte-parole de l’agence, Amélie Régis, dans une réponse par courrier électronique. « Plusieurs options ont été évaluées pour limiter les alarmes de recul. Cependant, la plupart de ces options n’étaient pas durables et risquaient d’avoir d’autres impacts. » Nous rappelons régulièrement à l’entrepreneur de tout mettre en œuvre pour limiter les impacts sonores. Évidemment, on ne peut négliger la sécurité sur le chantier, d’où l’importance des alarmes. Amélie Régis, porte-parole de la STM, dans un courriel Concernant les bruits qui se répercutent avant 7 h, Mme Régis affirme que la STM « avise systématiquement l’entrepreneur pour lui rappeler les règles en vigueur et respecter le voisinage, lorsqu’une telle situation est signalée ». Mais l’entreprise de camionnage estime que “les camions de construction peuvent arriver à proximité du chantier avant 7h00”, selon son site internet. Cependant, selon le porte-parole, les bruits entendus la semaine dernière avant 7h du matin dans le secteur ne provenaient pas du chantier de construction de la STM.