Près de la moitié de tous les cancers dans le monde sont imputables à un facteur de risque donné, principalement le tabac et l’alcool, a conclu une importante étude publiée vendredi 19 août, soulignant l’importance des mesures préventives sans en faire une panacée. “Selon notre analyse, 44,4% des décès par cancer dans le monde (…) sont imputables à un facteur de risque mesuré”, promeut cette étude, publiée dans The Lancet et réalisée dans le cadre du Global Burden of Disease. Ce programme de recherche massif, financé par la Fondation Bill Gates, est d’une ampleur sans précédent, impliquant plusieurs milliers de chercheurs dans la plupart des pays du monde. Ce travail permet donc une connaissance plus fine des facteurs de risque selon les régions du monde, même si, globalement, ses conclusions confirment ce que l’on savait déjà : le tabac est de loin le principal élément favorisant le cancer (33,9 % ) suivi de l’alcool (7,4%). Surtout, ces résultats confirment l’importance de la prévention en santé publique, car bon nombre de ces facteurs de risque sont associés à des comportements qui peuvent être modifiés ou évités. Lire aussi Tabagisme : des solutions pour arrêter et ne pas recommencer Cependant, la moitié des cancers ne sont pas attribuables à un facteur de risque donné, signe que la prévention ne suffit pas. Celle-ci, selon les auteurs, doit donc s’accompagner de deux autres piliers : un diagnostic suffisamment précoce et des traitements efficaces. Dans un commentaire indépendant, publié dans le même numéro de The Lancet, deux épidémiologistes ont soutenu ces conclusions, estimant également que l’étude souligne l’importance de la prévention. Ces deux commentateurs, Diana Sarfati et Jason Gurney, ont toutefois insisté pour que l’exactitude des estimations fournies ne soit pas nécessairement prise au pied de la lettre, notant que la collecte de données est intrinsèquement sujette à de nombreuses lacunes dans de nombreux pays. À VOIR AUSSI – L’Anses confirme le lien entre le risque de cancer et les nitrites, notamment présents dans les charcuteries


title: “Le Tabac Et L Alcool Sont Les Principales Causes De Cancer Dans Le Monde Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-13” author: “James Lane”


Près de la moitié de tous les cancers dans le monde sont imputables à un facteur de risque donné, principalement le tabac et l’alcool, a conclu une importante étude publiée vendredi 19 août, soulignant l’importance des mesures préventives sans en faire une panacée. “Selon notre analyse, 44,4% des décès par cancer dans le monde (…) sont imputables à un facteur de risque mesuré”, promeut cette étude, publiée dans The Lancet et réalisée dans le cadre du Global Burden of Disease. Ce programme de recherche massif, financé par la Fondation Bill Gates, est d’une ampleur sans précédent, impliquant plusieurs milliers de chercheurs dans la plupart des pays du monde. Ce travail permet donc une connaissance plus fine des facteurs de risque selon les régions du monde, même si, globalement, ses conclusions confirment ce que l’on savait déjà : le tabac est de loin le principal élément favorisant le cancer (33,9 % ) suivi de l’alcool (7,4%). Surtout, ces résultats confirment l’importance de la prévention en santé publique, car bon nombre de ces facteurs de risque sont associés à des comportements qui peuvent être modifiés ou évités. Lire aussi Tabagisme : des solutions pour arrêter et ne pas recommencer Cependant, la moitié des cancers ne sont pas attribuables à un facteur de risque donné, signe que la prévention ne suffit pas. Celle-ci, selon les auteurs, doit donc s’accompagner de deux autres piliers : un diagnostic suffisamment précoce et des traitements efficaces. Dans un commentaire indépendant, publié dans le même numéro de The Lancet, deux épidémiologistes ont soutenu ces conclusions, estimant également que l’étude souligne l’importance de la prévention. Ces deux commentateurs, Diana Sarfati et Jason Gurney, ont toutefois insisté pour que l’exactitude des estimations fournies ne soit pas nécessairement prise au pied de la lettre, notant que la collecte de données est intrinsèquement sujette à de nombreuses lacunes dans de nombreux pays. À VOIR AUSSI – L’Anses confirme le lien entre le risque de cancer et les nitrites, notamment présents dans les charcuteries


title: “Le Tabac Et L Alcool Sont Les Principales Causes De Cancer Dans Le Monde Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-07” author: “Eli Quezad”


Près de la moitié de tous les cancers dans le monde sont imputables à un facteur de risque donné, principalement le tabac et l’alcool, a conclu une importante étude publiée vendredi 19 août, soulignant l’importance des mesures préventives sans en faire une panacée. “Selon notre analyse, 44,4% des décès par cancer dans le monde (…) sont imputables à un facteur de risque mesuré”, promeut cette étude, publiée dans The Lancet et réalisée dans le cadre du Global Burden of Disease. Ce programme de recherche massif, financé par la Fondation Bill Gates, est d’une ampleur sans précédent, impliquant plusieurs milliers de chercheurs dans la plupart des pays du monde. Ce travail permet donc une connaissance plus fine des facteurs de risque selon les régions du monde, même si, globalement, ses conclusions confirment ce que l’on savait déjà : le tabac est de loin le principal élément favorisant le cancer (33,9 % ) suivi de l’alcool (7,4%). Surtout, ces résultats confirment l’importance de la prévention en santé publique, car bon nombre de ces facteurs de risque sont associés à des comportements qui peuvent être modifiés ou évités. Lire aussi Tabagisme : des solutions pour arrêter et ne pas recommencer Cependant, la moitié des cancers ne sont pas attribuables à un facteur de risque donné, signe que la prévention ne suffit pas. Celle-ci, selon les auteurs, doit donc s’accompagner de deux autres piliers : un diagnostic suffisamment précoce et des traitements efficaces. Dans un commentaire indépendant, publié dans le même numéro de The Lancet, deux épidémiologistes ont soutenu ces conclusions, estimant également que l’étude souligne l’importance de la prévention. Ces deux commentateurs, Diana Sarfati et Jason Gurney, ont toutefois insisté pour que l’exactitude des estimations fournies ne soit pas nécessairement prise au pied de la lettre, notant que la collecte de données est intrinsèquement sujette à de nombreuses lacunes dans de nombreux pays. À VOIR AUSSI – L’Anses confirme le lien entre le risque de cancer et les nitrites, notamment présents dans les charcuteries


title: “Le Tabac Et L Alcool Sont Les Principales Causes De Cancer Dans Le Monde Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-21” author: “Yvonne Richmond”


Près de la moitié de tous les cancers dans le monde sont imputables à un facteur de risque donné, principalement le tabac et l’alcool, a conclu une importante étude publiée vendredi 19 août, soulignant l’importance des mesures préventives sans en faire une panacée. “Selon notre analyse, 44,4% des décès par cancer dans le monde (…) sont imputables à un facteur de risque mesuré”, promeut cette étude, publiée dans The Lancet et réalisée dans le cadre du Global Burden of Disease. Ce programme de recherche massif, financé par la Fondation Bill Gates, est d’une ampleur sans précédent, impliquant plusieurs milliers de chercheurs dans la plupart des pays du monde. Ce travail permet donc une connaissance plus fine des facteurs de risque selon les régions du monde, même si, globalement, ses conclusions confirment ce que l’on savait déjà : le tabac est de loin le principal élément favorisant le cancer (33,9 % ) suivi de l’alcool (7,4%). Surtout, ces résultats confirment l’importance de la prévention en santé publique, car bon nombre de ces facteurs de risque sont associés à des comportements qui peuvent être modifiés ou évités. Lire aussi Tabagisme : des solutions pour arrêter et ne pas recommencer Cependant, la moitié des cancers ne sont pas attribuables à un facteur de risque donné, signe que la prévention ne suffit pas. Celle-ci, selon les auteurs, doit donc s’accompagner de deux autres piliers : un diagnostic suffisamment précoce et des traitements efficaces. Dans un commentaire indépendant, publié dans le même numéro de The Lancet, deux épidémiologistes ont soutenu ces conclusions, estimant également que l’étude souligne l’importance de la prévention. Ces deux commentateurs, Diana Sarfati et Jason Gurney, ont toutefois insisté pour que l’exactitude des estimations fournies ne soit pas nécessairement prise au pied de la lettre, notant que la collecte de données est intrinsèquement sujette à de nombreuses lacunes dans de nombreux pays. À VOIR AUSSI – L’Anses confirme le lien entre le risque de cancer et les nitrites, notamment présents dans les charcuteries