Plusieurs dizaines de personnes, dont le maire du village, étaient présentes pour soutenir cette action, qui visait à voir si l’état des vaches s’améliore lorsque l’antenne est éteinte, a souligné l’éleveur. Frédéric Ségales assure en effet que la santé de son bétail s’est détériorée et que la production laitière a diminué depuis l’installation de cette antenne 4G en juillet 2021, à environ 200 mètres de sa ferme. Il affirme également avoir perdu une cinquantaine d’animaux sur 200. Le tribunal de Clermont-Ferrand avait ordonné le 23 mai l’extinction de l’antenne pendant deux mois pour permettre la poursuite de l’expertise judiciaire. La décision a donné trois mois à l’Etat et aux opérateurs (Bouygues Telecom, Free, SFR et Orange) pour arrêter son exploitation.

“Des vies seront sacrifiées”

Mais le Conseil d’Etat a annulé la décision ce mercredi, constatant une “erreur de droit” et estimant que le tribunal administratif “n’avait pas qualifié l’existence d’un risque grave”. L’agriculteur n’a aucun doute : “S’ils viennent le remettre en service, il faudra arrêter et il y aura des sacrifices”, a-t-il déclaré. Lors de l’audience de Clermont-Ferrand, l’expert judiciaire avait souligné que “ce troupeau fait partie des 10 à 20% de la meilleure section” et qu’”il n’avait aucune preuve médicale pour expliquer la chute brutale de la production laitière, de 15% jusqu’à 20%, dans les jours qui suivent la création de la succursale”. Les avocats des exploitants avaient pour leur part soutenu qu’il n’y avait aucune preuve scientifique liant la santé des vaches aux champs électromagnétiques. Pour l’avocat de l’éleveur, Maître Romain Gourdou, la décision du Conseil d’Etat a été “une grande déception”. “Le fait même de chercher la vérité ne nous est pas permis”, a-t-il dit, indiquant qu’il étudiait d’autres traitements. Cette décision “ne doit pas être surinterprétée : elle ne signifie ni le règlement ni la fin du litige” et elle est “essentielle pour pouvoir compléter l’expertise judiciaire fixée par le tribunal judiciaire”, cependant Jean-Noël Barrot, porte-parole du ministre de la Transition numérique, dans un communiqué écrit.


title: “Haute Loire L Antenne Relais Soup Onn E D Avoir Tu Des Vaches Coup E Par L Agriculteur Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-19” author: “Mattie Mcatee”


Plusieurs dizaines de personnes, dont le maire du village, étaient présentes pour soutenir cette action, qui visait à voir si l’état des vaches s’améliore lorsque l’antenne est éteinte, a souligné l’éleveur. Frédéric Ségales assure en effet que la santé de son bétail s’est détériorée et que la production laitière a diminué depuis l’installation de cette antenne 4G en juillet 2021, à environ 200 mètres de sa ferme. Il affirme également avoir perdu une cinquantaine d’animaux sur 200. Le tribunal de Clermont-Ferrand avait ordonné le 23 mai l’extinction de l’antenne pendant deux mois pour permettre la poursuite de l’expertise judiciaire. La décision a donné trois mois à l’Etat et aux opérateurs (Bouygues Telecom, Free, SFR et Orange) pour arrêter son exploitation.

“Des vies seront sacrifiées”

Mais le Conseil d’Etat a annulé la décision ce mercredi, constatant une “erreur de droit” et estimant que le tribunal administratif “n’avait pas qualifié l’existence d’un risque grave”. L’agriculteur n’a aucun doute : “S’ils viennent le remettre en service, il faudra arrêter et il y aura des sacrifices”, a-t-il déclaré. Lors de l’audience de Clermont-Ferrand, l’expert judiciaire avait souligné que “ce troupeau fait partie des 10 à 20% de la meilleure section” et qu’”il n’avait aucune preuve médicale pour expliquer la chute brutale de la production laitière, de 15% jusqu’à 20%, dans les jours qui suivent la création de la succursale”. Les avocats des exploitants avaient pour leur part soutenu qu’il n’y avait aucune preuve scientifique liant la santé des vaches aux champs électromagnétiques. Pour l’avocat de l’éleveur, Maître Romain Gourdou, la décision du Conseil d’Etat a été “une grande déception”. “Le fait même de chercher la vérité ne nous est pas permis”, a-t-il dit, indiquant qu’il étudiait d’autres traitements. Cette décision “ne doit pas être surinterprétée : elle ne signifie ni le règlement ni la fin du litige” et elle est “essentielle pour pouvoir compléter l’expertise judiciaire fixée par le tribunal judiciaire”, cependant Jean-Noël Barrot, porte-parole du ministre de la Transition numérique, dans un communiqué écrit.


title: “Haute Loire L Antenne Relais Soup Onn E D Avoir Tu Des Vaches Coup E Par L Agriculteur Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-02” author: “Annie Crouchet”


Plusieurs dizaines de personnes, dont le maire du village, étaient présentes pour soutenir cette action, qui visait à voir si l’état des vaches s’améliore lorsque l’antenne est éteinte, a souligné l’éleveur. Frédéric Ségales assure en effet que la santé de son bétail s’est détériorée et que la production laitière a diminué depuis l’installation de cette antenne 4G en juillet 2021, à environ 200 mètres de sa ferme. Il affirme également avoir perdu une cinquantaine d’animaux sur 200. Le tribunal de Clermont-Ferrand avait ordonné le 23 mai l’extinction de l’antenne pendant deux mois pour permettre la poursuite de l’expertise judiciaire. La décision a donné trois mois à l’Etat et aux opérateurs (Bouygues Telecom, Free, SFR et Orange) pour arrêter son exploitation.

“Des vies seront sacrifiées”

Mais le Conseil d’Etat a annulé la décision ce mercredi, constatant une “erreur de droit” et estimant que le tribunal administratif “n’avait pas qualifié l’existence d’un risque grave”. L’agriculteur n’a aucun doute : “S’ils viennent le remettre en service, il faudra arrêter et il y aura des sacrifices”, a-t-il déclaré. Lors de l’audience de Clermont-Ferrand, l’expert judiciaire avait souligné que “ce troupeau fait partie des 10 à 20% de la meilleure section” et qu’”il n’avait aucune preuve médicale pour expliquer la chute brutale de la production laitière, de 15% jusqu’à 20%, dans les jours qui suivent la création de la succursale”. Les avocats des exploitants avaient pour leur part soutenu qu’il n’y avait aucune preuve scientifique liant la santé des vaches aux champs électromagnétiques. Pour l’avocat de l’éleveur, Maître Romain Gourdou, la décision du Conseil d’Etat a été “une grande déception”. “Le fait même de chercher la vérité ne nous est pas permis”, a-t-il dit, indiquant qu’il étudiait d’autres traitements. Cette décision “ne doit pas être surinterprétée : elle ne signifie ni le règlement ni la fin du litige” et elle est “essentielle pour pouvoir compléter l’expertise judiciaire fixée par le tribunal judiciaire”, cependant Jean-Noël Barrot, porte-parole du ministre de la Transition numérique, dans un communiqué écrit.


title: “Haute Loire L Antenne Relais Soup Onn E D Avoir Tu Des Vaches Coup E Par L Agriculteur Klmat” ShowToc: true date: “2022-10-28” author: “Ken Hart”


Plusieurs dizaines de personnes, dont le maire du village, étaient présentes pour soutenir cette action, qui visait à voir si l’état des vaches s’améliore lorsque l’antenne est éteinte, a souligné l’éleveur. Frédéric Ségales assure en effet que la santé de son bétail s’est détériorée et que la production laitière a diminué depuis l’installation de cette antenne 4G en juillet 2021, à environ 200 mètres de sa ferme. Il affirme également avoir perdu une cinquantaine d’animaux sur 200. Le tribunal de Clermont-Ferrand avait ordonné le 23 mai l’extinction de l’antenne pendant deux mois pour permettre la poursuite de l’expertise judiciaire. La décision a donné trois mois à l’Etat et aux opérateurs (Bouygues Telecom, Free, SFR et Orange) pour arrêter son exploitation.

“Des vies seront sacrifiées”

Mais le Conseil d’Etat a annulé la décision ce mercredi, constatant une “erreur de droit” et estimant que le tribunal administratif “n’avait pas qualifié l’existence d’un risque grave”. L’agriculteur n’a aucun doute : “S’ils viennent le remettre en service, il faudra arrêter et il y aura des sacrifices”, a-t-il déclaré. Lors de l’audience de Clermont-Ferrand, l’expert judiciaire avait souligné que “ce troupeau fait partie des 10 à 20% de la meilleure section” et qu’”il n’avait aucune preuve médicale pour expliquer la chute brutale de la production laitière, de 15% jusqu’à 20%, dans les jours qui suivent la création de la succursale”. Les avocats des exploitants avaient pour leur part soutenu qu’il n’y avait aucune preuve scientifique liant la santé des vaches aux champs électromagnétiques. Pour l’avocat de l’éleveur, Maître Romain Gourdou, la décision du Conseil d’Etat a été “une grande déception”. “Le fait même de chercher la vérité ne nous est pas permis”, a-t-il dit, indiquant qu’il étudiait d’autres traitements. Cette décision “ne doit pas être surinterprétée : elle ne signifie ni le règlement ni la fin du litige” et elle est “essentielle pour pouvoir compléter l’expertise judiciaire fixée par le tribunal judiciaire”, cependant Jean-Noël Barrot, porte-parole du ministre de la Transition numérique, dans un communiqué écrit.


title: “Haute Loire L Antenne Relais Soup Onn E D Avoir Tu Des Vaches Coup E Par L Agriculteur Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-03” author: “Robert Sizemore”


Plusieurs dizaines de personnes, dont le maire du village, étaient présentes pour soutenir cette action, qui visait à voir si l’état des vaches s’améliore lorsque l’antenne est éteinte, a souligné l’éleveur. Frédéric Ségales assure en effet que la santé de son bétail s’est détériorée et que la production laitière a diminué depuis l’installation de cette antenne 4G en juillet 2021, à environ 200 mètres de sa ferme. Il affirme également avoir perdu une cinquantaine d’animaux sur 200. Le tribunal de Clermont-Ferrand avait ordonné le 23 mai l’extinction de l’antenne pendant deux mois pour permettre la poursuite de l’expertise judiciaire. La décision a donné trois mois à l’Etat et aux opérateurs (Bouygues Telecom, Free, SFR et Orange) pour arrêter son exploitation.

“Des vies seront sacrifiées”

Mais le Conseil d’Etat a annulé la décision ce mercredi, constatant une “erreur de droit” et estimant que le tribunal administratif “n’avait pas qualifié l’existence d’un risque grave”. L’agriculteur n’a aucun doute : “S’ils viennent le remettre en service, il faudra arrêter et il y aura des sacrifices”, a-t-il déclaré. Lors de l’audience de Clermont-Ferrand, l’expert judiciaire avait souligné que “ce troupeau fait partie des 10 à 20% de la meilleure section” et qu’”il n’avait aucune preuve médicale pour expliquer la chute brutale de la production laitière, de 15% jusqu’à 20%, dans les jours qui suivent la création de la succursale”. Les avocats des exploitants avaient pour leur part soutenu qu’il n’y avait aucune preuve scientifique liant la santé des vaches aux champs électromagnétiques. Pour l’avocat de l’éleveur, Maître Romain Gourdou, la décision du Conseil d’Etat a été “une grande déception”. “Le fait même de chercher la vérité ne nous est pas permis”, a-t-il dit, indiquant qu’il étudiait d’autres traitements. Cette décision “ne doit pas être surinterprétée : elle ne signifie ni le règlement ni la fin du litige” et elle est “essentielle pour pouvoir compléter l’expertise judiciaire fixée par le tribunal judiciaire”, cependant Jean-Noël Barrot, porte-parole du ministre de la Transition numérique, dans un communiqué écrit.