Aux États-Unis, la flambée des démissions à partir de 2021 après les premières vagues de l’épidémie de COVID-19, des milliers de travailleurs quittant volontairement leur emploi pour changer d’emploi, chercher un autre emploi ou se retirer du marché du travail, a été qualifiée de “Big Quit”. » (“Grande Quitte”). Mais en France, le niveau des démissions est actuellement “élevé sans être inédit, ni inattendu compte tenu du contexte économique” de la reprise après la crise sanitaire, note la Dares dans cette étude. Certains observateurs avaient évoqué le risque d’une “grosse démission” en France, compte tenu du niveau “historiquement élevé” des démissions depuis fin 2021 – près de 520.000 par trimestre, dont environ 470.000 démissions en CDI, contre environ 430.000 par trimestre fin 2019, avant la crise sanitaire.

Du jamais vu depuis 2008

Le précédent record avait été établi au premier trimestre 2008, pendant la crise financière mondiale, avec 510 000 démissions, dont 400 000 pour le seul CDI, rappelle la Dares. Or, en rapportant les chiffres à la population française en emploi, le taux de démission en France, à 2,7 % au premier trimestre 2022, était certes au plus haut depuis la crise financière de 2008-2009, mais restait en dessous du niveau de 2 . 9 % a été atteint début 2008. Le taux d’arrêt étant un indicateur conjoncturel – qui baisse pendant les crises et remonte pendant les phases de reprise – “dans le contexte actuel, la hausse du taux d’arrêt apparaît (…) comme normale, par rapport à la reprise après COVID – 19 crise » et reflète simplement le dynamisme du marché du travail en France, conclut la Dares. Sans compter qu’avec des difficultés de recrutement actuellement “à des niveaux sans précédent”, les nombreuses opportunités pour les salariés déjà en poste pourraient lever une partie des freins à la démission. Dans ce contexte, « le pouvoir de négociation bascule en faveur des travailleurs », avec d’éventuelles augmentations des salaires de départ ou des concessions des entreprises pour retenir ou attirer les travailleurs, par exemple « en fonction des conditions ou de l’organisation du travail (télétravail) ou de la forme des contrats de travail, ” note Darès.


title: “Emploi La France Est Frapp E Par Une Vague De D Missions Depuis La Fin De L Ann E Derni Re Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-02” author: “Todd Castle”


Aux États-Unis, la flambée des démissions à partir de 2021 après les premières vagues de l’épidémie de COVID-19, des milliers de travailleurs quittant volontairement leur emploi pour changer d’emploi, chercher un autre emploi ou se retirer du marché du travail, a été qualifiée de “Big Quit”. » (“Grande Quitte”). Mais en France, le niveau des démissions est actuellement “élevé sans être inédit, ni inattendu compte tenu du contexte économique” de la reprise après la crise sanitaire, note la Dares dans cette étude. Certains observateurs avaient évoqué le risque d’une “grosse démission” en France, compte tenu du niveau “historiquement élevé” des démissions depuis fin 2021 – près de 520.000 par trimestre, dont environ 470.000 démissions en CDI, contre environ 430.000 par trimestre fin 2019, avant la crise sanitaire.

Du jamais vu depuis 2008

Le précédent record avait été établi au premier trimestre 2008, pendant la crise financière mondiale, avec 510 000 démissions, dont 400 000 pour le seul CDI, rappelle la Dares. Or, en rapportant les chiffres à la population française en emploi, le taux de démission en France, à 2,7 % au premier trimestre 2022, était certes au plus haut depuis la crise financière de 2008-2009, mais restait en dessous du niveau de 2 . 9 % a été atteint début 2008. Le taux d’arrêt étant un indicateur conjoncturel – qui baisse pendant les crises et remonte pendant les phases de reprise – “dans le contexte actuel, la hausse du taux d’arrêt apparaît (…) comme normale, par rapport à la reprise après COVID – 19 crise » et reflète simplement le dynamisme du marché du travail en France, conclut la Dares. Sans compter qu’avec des difficultés de recrutement actuellement “à des niveaux sans précédent”, les nombreuses opportunités pour les salariés déjà en poste pourraient lever une partie des freins à la démission. Dans ce contexte, « le pouvoir de négociation bascule en faveur des travailleurs », avec d’éventuelles augmentations des salaires de départ ou des concessions des entreprises pour retenir ou attirer les travailleurs, par exemple « en fonction des conditions ou de l’organisation du travail (télétravail) ou de la forme des contrats de travail, ” note Darès.


title: “Emploi La France Est Frapp E Par Une Vague De D Missions Depuis La Fin De L Ann E Derni Re Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-08” author: “Robert Leonard”


Aux États-Unis, la flambée des démissions à partir de 2021 après les premières vagues de l’épidémie de COVID-19, des milliers de travailleurs quittant volontairement leur emploi pour changer d’emploi, chercher un autre emploi ou se retirer du marché du travail, a été qualifiée de “Big Quit”. » (“Grande Quitte”). Mais en France, le niveau des démissions est actuellement “élevé sans être inédit, ni inattendu compte tenu du contexte économique” de la reprise après la crise sanitaire, note la Dares dans cette étude. Certains observateurs avaient évoqué le risque d’une “grosse démission” en France, compte tenu du niveau “historiquement élevé” des démissions depuis fin 2021 – près de 520.000 par trimestre, dont environ 470.000 démissions en CDI, contre environ 430.000 par trimestre fin 2019, avant la crise sanitaire.

Du jamais vu depuis 2008

Le précédent record avait été établi au premier trimestre 2008, pendant la crise financière mondiale, avec 510 000 démissions, dont 400 000 pour le seul CDI, rappelle la Dares. Or, en rapportant les chiffres à la population française en emploi, le taux de démission en France, à 2,7 % au premier trimestre 2022, était certes au plus haut depuis la crise financière de 2008-2009, mais restait en dessous du niveau de 2 . 9 % a été atteint début 2008. Le taux d’arrêt étant un indicateur conjoncturel – qui baisse pendant les crises et remonte pendant les phases de reprise – “dans le contexte actuel, la hausse du taux d’arrêt apparaît (…) comme normale, par rapport à la reprise après COVID – 19 crise » et reflète simplement le dynamisme du marché du travail en France, conclut la Dares. Sans compter qu’avec des difficultés de recrutement actuellement “à des niveaux sans précédent”, les nombreuses opportunités pour les salariés déjà en poste pourraient lever une partie des freins à la démission. Dans ce contexte, « le pouvoir de négociation bascule en faveur des travailleurs », avec d’éventuelles augmentations des salaires de départ ou des concessions des entreprises pour retenir ou attirer les travailleurs, par exemple « en fonction des conditions ou de l’organisation du travail (télétravail) ou de la forme des contrats de travail, ” note Darès.


title: “Emploi La France Est Frapp E Par Une Vague De D Missions Depuis La Fin De L Ann E Derni Re Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-17” author: “Cheryl Smith”


Aux États-Unis, la flambée des démissions à partir de 2021 après les premières vagues de l’épidémie de COVID-19, des milliers de travailleurs quittant volontairement leur emploi pour changer d’emploi, chercher un autre emploi ou se retirer du marché du travail, a été qualifiée de “Big Quit”. » (“Grande Quitte”). Mais en France, le niveau des démissions est actuellement “élevé sans être inédit, ni inattendu compte tenu du contexte économique” de la reprise après la crise sanitaire, note la Dares dans cette étude. Certains observateurs avaient évoqué le risque d’une “grosse démission” en France, compte tenu du niveau “historiquement élevé” des démissions depuis fin 2021 – près de 520.000 par trimestre, dont environ 470.000 démissions en CDI, contre environ 430.000 par trimestre fin 2019, avant la crise sanitaire.

Du jamais vu depuis 2008

Le précédent record avait été établi au premier trimestre 2008, pendant la crise financière mondiale, avec 510 000 démissions, dont 400 000 pour le seul CDI, rappelle la Dares. Or, en rapportant les chiffres à la population française en emploi, le taux de démission en France, à 2,7 % au premier trimestre 2022, était certes au plus haut depuis la crise financière de 2008-2009, mais restait en dessous du niveau de 2 . 9 % a été atteint début 2008. Le taux d’arrêt étant un indicateur conjoncturel – qui baisse pendant les crises et remonte pendant les phases de reprise – “dans le contexte actuel, la hausse du taux d’arrêt apparaît (…) comme normale, par rapport à la reprise après COVID – 19 crise » et reflète simplement le dynamisme du marché du travail en France, conclut la Dares. Sans compter qu’avec des difficultés de recrutement actuellement “à des niveaux sans précédent”, les nombreuses opportunités pour les salariés déjà en poste pourraient lever une partie des freins à la démission. Dans ce contexte, « le pouvoir de négociation bascule en faveur des travailleurs », avec d’éventuelles augmentations des salaires de départ ou des concessions des entreprises pour retenir ou attirer les travailleurs, par exemple « en fonction des conditions ou de l’organisation du travail (télétravail) ou de la forme des contrats de travail, ” note Darès.


title: “Emploi La France Est Frapp E Par Une Vague De D Missions Depuis La Fin De L Ann E Derni Re Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-25” author: “Joanne Stein”


Aux États-Unis, la flambée des démissions à partir de 2021 après les premières vagues de l’épidémie de COVID-19, des milliers de travailleurs quittant volontairement leur emploi pour changer d’emploi, chercher un autre emploi ou se retirer du marché du travail, a été qualifiée de “Big Quit”. » (“Grande Quitte”). Mais en France, le niveau des démissions est actuellement “élevé sans être inédit, ni inattendu compte tenu du contexte économique” de la reprise après la crise sanitaire, note la Dares dans cette étude. Certains observateurs avaient évoqué le risque d’une “grosse démission” en France, compte tenu du niveau “historiquement élevé” des démissions depuis fin 2021 – près de 520.000 par trimestre, dont environ 470.000 démissions en CDI, contre environ 430.000 par trimestre fin 2019, avant la crise sanitaire.

Du jamais vu depuis 2008

Le précédent record avait été établi au premier trimestre 2008, pendant la crise financière mondiale, avec 510 000 démissions, dont 400 000 pour le seul CDI, rappelle la Dares. Or, en rapportant les chiffres à la population française en emploi, le taux de démission en France, à 2,7 % au premier trimestre 2022, était certes au plus haut depuis la crise financière de 2008-2009, mais restait en dessous du niveau de 2 . 9 % a été atteint début 2008. Le taux d’arrêt étant un indicateur conjoncturel – qui baisse pendant les crises et remonte pendant les phases de reprise – “dans le contexte actuel, la hausse du taux d’arrêt apparaît (…) comme normale, par rapport à la reprise après COVID – 19 crise » et reflète simplement le dynamisme du marché du travail en France, conclut la Dares. Sans compter qu’avec des difficultés de recrutement actuellement “à des niveaux sans précédent”, les nombreuses opportunités pour les salariés déjà en poste pourraient lever une partie des freins à la démission. Dans ce contexte, « le pouvoir de négociation bascule en faveur des travailleurs », avec d’éventuelles augmentations des salaires de départ ou des concessions des entreprises pour retenir ou attirer les travailleurs, par exemple « en fonction des conditions ou de l’organisation du travail (télétravail) ou de la forme des contrats de travail, ” note Darès.