Le Mali à nouveau à l’attaque contre la France, cette fois devant les Nations Unies.  Alors que le retrait de la force Barkhane s’est achevé en début de semaine, le ministre malien des Affaires étrangères a écrit une lettre au Conseil de sécurité de l’ONU pour dénoncer les violations de l’espace aérien malien.  Abdoulaye Diop accuse également l’armée française de soutenir les djihadistes.  L’information a été révélée par nos confrères de Jeune Afrique, mais RFI a également pu se procurer cette lettre.                

“Talataye le 6 août, Lerneb le 7 août, entre Tessit et Gao le 8 août…” Dans sa lettre, Abdoulaye Diop énumère une série de frappes aériennes dans le ciel malien qui, selon son chef de la diplomatie malienne, les Français La force de Barkhane a servi à surveiller l’armée malienne, à l’intimider et surtout à “recueillir des informations au profit des groupes terroristes” et “leur larguer armes et munitions”. »

Cinquante infractions

Au total, Bamako a fait état d’une cinquantaine de violations de son espace aérien par des drones, des hélicoptères ou des avions de chasse français depuis le début de l’année. Des catégories et des faits déjà connus, puisque le gouvernement malien les avait déjà signalés fin avril. A l’époque, le Mali et la France s’accusaient mutuellement d’être les créateurs d’un charnier à Gosi. La France avait dénoncé une “campagne de désinformation” orchestrée par les nouveaux alliés russes de Bamako. La fin de l’opération Barkhane au Mali a été annoncée en février par la France, son retrait a également été achevé en début de semaine. Mais ce n’est qu’en mai dernier que le Mali a formellement contesté les accords de défense qui le liaient à la France : depuis, les deux pays ont des visions différentes de ce que les militaires français peuvent encore faire légalement sur le sol malien.

“Actions unilatérales non coordonnées”

Pendant cette période, Barkhane a reconnu avoir mené des opérations anti-terroristes. Bamako dénonce des “actions unilatérales non coordonnées” avec le Mali et appelle à une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU. Le ministre Diop menace même d’utiliser la “défense légale” contre ce qu’il qualifie d’”agression”. » ► À lire aussi : Le commandant de la Force Barkhane dénonce les accusations “abusives” du Mali


title: “Pourquoi Le Mali Accuse T Il La France De Soutenir Les Djihadistes Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-11” author: “Josephine Mccain”


                Le Mali à nouveau à l’attaque contre la France, cette fois devant les Nations Unies.  Alors que le retrait de la force Barkhane s’est achevé en début de semaine, le ministre malien des Affaires étrangères a écrit une lettre au Conseil de sécurité de l’ONU pour dénoncer les violations de l’espace aérien malien.  Abdoulaye Diop accuse également l’armée française de soutenir les djihadistes.  L’information a été révélée par nos confrères de Jeune Afrique, mais RFI a également pu se procurer cette lettre.                

“Talataye le 6 août, Lerneb le 7 août, entre Tessit et Gao le 8 août…” Dans sa lettre, Abdoulaye Diop énumère une série de frappes aériennes dans le ciel malien qui, selon son chef de la diplomatie malienne, les Français La force de Barkhane a servi à surveiller l’armée malienne, à l’intimider et surtout à “recueillir des informations au profit des groupes terroristes” et “leur larguer armes et munitions”. »

Cinquante infractions

Au total, Bamako a fait état d’une cinquantaine de violations de son espace aérien par des drones, des hélicoptères ou des avions de chasse français depuis le début de l’année. Des catégories et des faits déjà connus, puisque le gouvernement malien les avait déjà signalés fin avril. A l’époque, le Mali et la France s’accusaient mutuellement d’être les créateurs d’un charnier à Gosi. La France avait dénoncé une “campagne de désinformation” orchestrée par les nouveaux alliés russes de Bamako. La fin de l’opération Barkhane au Mali a été annoncée en février par la France, son retrait a également été achevé en début de semaine. Mais ce n’est qu’en mai dernier que le Mali a formellement contesté les accords de défense qui le liaient à la France : depuis, les deux pays ont des visions différentes de ce que les militaires français peuvent encore faire légalement sur le sol malien.

“Actions unilatérales non coordonnées”

Pendant cette période, Barkhane a reconnu avoir mené des opérations anti-terroristes. Bamako dénonce des “actions unilatérales non coordonnées” avec le Mali et appelle à une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU. Le ministre Diop menace même d’utiliser la “défense légale” contre ce qu’il qualifie d’”agression”. » ► À lire aussi : Le commandant de la Force Barkhane dénonce les accusations “abusives” du Mali


title: “Pourquoi Le Mali Accuse T Il La France De Soutenir Les Djihadistes Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-08” author: “James Mccreedy”


                Le Mali à nouveau à l’attaque contre la France, cette fois devant les Nations Unies.  Alors que le retrait de la force Barkhane s’est achevé en début de semaine, le ministre malien des Affaires étrangères a écrit une lettre au Conseil de sécurité de l’ONU pour dénoncer les violations de l’espace aérien malien.  Abdoulaye Diop accuse également l’armée française de soutenir les djihadistes.  L’information a été révélée par nos confrères de Jeune Afrique, mais RFI a également pu se procurer cette lettre.                

“Talataye le 6 août, Lerneb le 7 août, entre Tessit et Gao le 8 août…” Dans sa lettre, Abdoulaye Diop énumère une série de frappes aériennes dans le ciel malien qui, selon son chef de la diplomatie malienne, les Français La force de Barkhane a servi à surveiller l’armée malienne, à l’intimider et surtout à “recueillir des informations au profit des groupes terroristes” et “leur larguer armes et munitions”. »

Cinquante infractions

Au total, Bamako a fait état d’une cinquantaine de violations de son espace aérien par des drones, des hélicoptères ou des avions de chasse français depuis le début de l’année. Des catégories et des faits déjà connus, puisque le gouvernement malien les avait déjà signalés fin avril. A l’époque, le Mali et la France s’accusaient mutuellement d’être les créateurs d’un charnier à Gosi. La France avait dénoncé une “campagne de désinformation” orchestrée par les nouveaux alliés russes de Bamako. La fin de l’opération Barkhane au Mali a été annoncée en février par la France, son retrait a également été achevé en début de semaine. Mais ce n’est qu’en mai dernier que le Mali a formellement contesté les accords de défense qui le liaient à la France : depuis, les deux pays ont des visions différentes de ce que les militaires français peuvent encore faire légalement sur le sol malien.

“Actions unilatérales non coordonnées”

Pendant cette période, Barkhane a reconnu avoir mené des opérations anti-terroristes. Bamako dénonce des “actions unilatérales non coordonnées” avec le Mali et appelle à une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU. Le ministre Diop menace même d’utiliser la “défense légale” contre ce qu’il qualifie d’”agression”. » ► À lire aussi : Le commandant de la Force Barkhane dénonce les accusations “abusives” du Mali


title: “Pourquoi Le Mali Accuse T Il La France De Soutenir Les Djihadistes Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-30” author: “Mildred Shah”


                Le Mali à nouveau à l’attaque contre la France, cette fois devant les Nations Unies.  Alors que le retrait de la force Barkhane s’est achevé en début de semaine, le ministre malien des Affaires étrangères a écrit une lettre au Conseil de sécurité de l’ONU pour dénoncer les violations de l’espace aérien malien.  Abdoulaye Diop accuse également l’armée française de soutenir les djihadistes.  L’information a été révélée par nos confrères de Jeune Afrique, mais RFI a également pu se procurer cette lettre.                

“Talataye le 6 août, Lerneb le 7 août, entre Tessit et Gao le 8 août…” Dans sa lettre, Abdoulaye Diop énumère une série de frappes aériennes dans le ciel malien qui, selon son chef de la diplomatie malienne, les Français La force de Barkhane a servi à surveiller l’armée malienne, à l’intimider et surtout à “recueillir des informations au profit des groupes terroristes” et “leur larguer armes et munitions”. »

Cinquante infractions

Au total, Bamako a fait état d’une cinquantaine de violations de son espace aérien par des drones, des hélicoptères ou des avions de chasse français depuis le début de l’année. Des catégories et des faits déjà connus, puisque le gouvernement malien les avait déjà signalés fin avril. A l’époque, le Mali et la France s’accusaient mutuellement d’être les créateurs d’un charnier à Gosi. La France avait dénoncé une “campagne de désinformation” orchestrée par les nouveaux alliés russes de Bamako. La fin de l’opération Barkhane au Mali a été annoncée en février par la France, son retrait a également été achevé en début de semaine. Mais ce n’est qu’en mai dernier que le Mali a formellement contesté les accords de défense qui le liaient à la France : depuis, les deux pays ont des visions différentes de ce que les militaires français peuvent encore faire légalement sur le sol malien.

“Actions unilatérales non coordonnées”

Pendant cette période, Barkhane a reconnu avoir mené des opérations anti-terroristes. Bamako dénonce des “actions unilatérales non coordonnées” avec le Mali et appelle à une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU. Le ministre Diop menace même d’utiliser la “défense légale” contre ce qu’il qualifie d’”agression”. » ► À lire aussi : Le commandant de la Force Barkhane dénonce les accusations “abusives” du Mali


title: “Pourquoi Le Mali Accuse T Il La France De Soutenir Les Djihadistes Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-18” author: “Brenda Parton”


                Le Mali à nouveau à l’attaque contre la France, cette fois devant les Nations Unies.  Alors que le retrait de la force Barkhane s’est achevé en début de semaine, le ministre malien des Affaires étrangères a écrit une lettre au Conseil de sécurité de l’ONU pour dénoncer les violations de l’espace aérien malien.  Abdoulaye Diop accuse également l’armée française de soutenir les djihadistes.  L’information a été révélée par nos confrères de Jeune Afrique, mais RFI a également pu se procurer cette lettre.                

“Talataye le 6 août, Lerneb le 7 août, entre Tessit et Gao le 8 août…” Dans sa lettre, Abdoulaye Diop énumère une série de frappes aériennes dans le ciel malien qui, selon son chef de la diplomatie malienne, les Français La force de Barkhane a servi à surveiller l’armée malienne, à l’intimider et surtout à “recueillir des informations au profit des groupes terroristes” et “leur larguer armes et munitions”. »

Cinquante infractions

Au total, Bamako a fait état d’une cinquantaine de violations de son espace aérien par des drones, des hélicoptères ou des avions de chasse français depuis le début de l’année. Des catégories et des faits déjà connus, puisque le gouvernement malien les avait déjà signalés fin avril. A l’époque, le Mali et la France s’accusaient mutuellement d’être les créateurs d’un charnier à Gosi. La France avait dénoncé une “campagne de désinformation” orchestrée par les nouveaux alliés russes de Bamako. La fin de l’opération Barkhane au Mali a été annoncée en février par la France, son retrait a également été achevé en début de semaine. Mais ce n’est qu’en mai dernier que le Mali a formellement contesté les accords de défense qui le liaient à la France : depuis, les deux pays ont des visions différentes de ce que les militaires français peuvent encore faire légalement sur le sol malien.

“Actions unilatérales non coordonnées”

Pendant cette période, Barkhane a reconnu avoir mené des opérations anti-terroristes. Bamako dénonce des “actions unilatérales non coordonnées” avec le Mali et appelle à une réunion d’urgence du Conseil de sécurité de l’ONU. Le ministre Diop menace même d’utiliser la “défense légale” contre ce qu’il qualifie d’”agression”. » ► À lire aussi : Le commandant de la Force Barkhane dénonce les accusations “abusives” du Mali