Cependant, début août, les députés s’étaient largement prononcés contre son arrivée à la tête du régulateur de l’énergie. Après avoir été évincée du gouvernement en mai et largement battue lors d’une élection législative dans le Val-de-Marne, elle a obtenu un total de 43 voix pour et 48 voix contre sa nomination dans les deux chambres. Il ne suffit pas de faire dérailler sa nomination, puisque l’article 13 de la Constitution stipule que les députés doivent rassembler “au moins les trois cinquièmes des suffrages exprimés” pour s’opposer à une nomination proposée par l’Elysée. Avec grand honneur pour la confiance du président de la République et du Premier ministre Comme je m’y suis engagé lors des auditions parlementaires, avec le soutien de l’Assemblée nationale, j’exercerai mon mandat en toute indépendance, au service des Français. – Emmanuelle Wargon (@EmmWargon) 17 août 2022 Du côté de l’opposition, cette nomination ne passe pas. “Emmanuel Macron impose Emmanuelle Wargon”, s’agace le vice-président du groupe RN Jean-Philippe Tanguy, quand la gauche a dénoncé un “fait du prince” début août. Le Président de la République est bien entendu associé à la nomination des présidents des Autorités administratives indépendantes (AAI). L’ancien Premier ministre Jean Castex a été nommé par Emmanuel Macron, sur proposition d’Elisabeth Bourne, présidente de l’Agence pour le financement des infrastructures de transport en France (AFIT). Ce principe contribue au financement des grands projets de mobilité dans le cadre de la stratégie fixée par le gouvernement, sans avoir de pouvoir décisionnel. Une institution qui a pourtant été jugée de peu d’utilité par plusieurs rapports de la Cour des comptes, qualifiée notamment de “presque une coquille vide” et qui, selon les juges économiques, ne servirait qu’au ministère des Transports à contourner le budget loi, dans un résumé de 2016. Fin juillet, par arrêté présidentiel, l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn est arrivée à la Cour des comptes pour cinq ans non renouvelables. En février dernier, Jacqueline Gourault, alors ministre de la Cohésion des territoires, a pris un siège au Conseil constitutionnel. Mais le rappel des anciens ministres de l’Elysée atteint ses limites. “On ne pourra pas faire ça partout”, prévient un macroni scion, et certains “anciens” s’inquiètent du risque de polémique. Des interrogations subsistent sur l’avenir d’anciens compagnons de route comme Christophe Castaner, l’un des grands perdants des élections législatives, désormais sans mandat. Certains affirment qu’il cherche dans le privé, d’autres qu’il pourrait être intéressé par l’Adime, le service de la transition verte. A ce titre, il pourrait également bénéficier d’un coup de pouce présidentiel.
title: “Wargon Castex Buzyn Castaner Comment L Elys E Assure La Reformulation Des Chiffres De La Macronie Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-13” author: “Donald Bambacigno”
Cependant, début août, les députés s’étaient largement prononcés contre son arrivée à la tête du régulateur de l’énergie. Après avoir été évincée du gouvernement en mai et largement battue lors d’une élection législative dans le Val-de-Marne, elle a obtenu un total de 43 voix pour et 48 voix contre sa nomination dans les deux chambres. Il ne suffit pas de faire dérailler sa nomination, puisque l’article 13 de la Constitution stipule que les députés doivent rassembler “au moins les trois cinquièmes des suffrages exprimés” pour s’opposer à une nomination proposée par l’Elysée. Avec grand honneur pour la confiance du président de la République et du Premier ministre Comme je m’y suis engagé lors des auditions parlementaires, avec le soutien de l’Assemblée nationale, j’exercerai mon mandat en toute indépendance, au service des Français. – Emmanuelle Wargon (@EmmWargon) 17 août 2022 Du côté de l’opposition, cette nomination ne passe pas. “Emmanuel Macron impose Emmanuelle Wargon”, s’agace le vice-président du groupe RN Jean-Philippe Tanguy, quand la gauche a dénoncé un “fait du prince” début août. Le Président de la République est bien entendu associé à la nomination des présidents des Autorités administratives indépendantes (AAI). L’ancien Premier ministre Jean Castex a été nommé par Emmanuel Macron, sur proposition d’Elisabeth Bourne, présidente de l’Agence pour le financement des infrastructures de transport en France (AFIT). Ce principe contribue au financement des grands projets de mobilité dans le cadre de la stratégie fixée par le gouvernement, sans avoir de pouvoir décisionnel. Une institution qui a pourtant été jugée de peu d’utilité par plusieurs rapports de la Cour des comptes, qualifiée notamment de “presque une coquille vide” et qui, selon les juges économiques, ne servirait qu’au ministère des Transports à contourner le budget loi, dans un résumé de 2016. Fin juillet, par arrêté présidentiel, l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn est arrivée à la Cour des comptes pour cinq ans non renouvelables. En février dernier, Jacqueline Gourault, alors ministre de la Cohésion des territoires, a pris un siège au Conseil constitutionnel. Mais le rappel des anciens ministres de l’Elysée atteint ses limites. “On ne pourra pas faire ça partout”, prévient un macroni scion, et certains “anciens” s’inquiètent du risque de polémique. Des interrogations subsistent sur l’avenir d’anciens compagnons de route comme Christophe Castaner, l’un des grands perdants des élections législatives, désormais sans mandat. Certains affirment qu’il cherche dans le privé, d’autres qu’il pourrait être intéressé par l’Adime, le service de la transition verte. A ce titre, il pourrait également bénéficier d’un coup de pouce présidentiel.
title: “Wargon Castex Buzyn Castaner Comment L Elys E Assure La Reformulation Des Chiffres De La Macronie Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-14” author: “Karen Baldwin”
Cependant, début août, les députés s’étaient largement prononcés contre son arrivée à la tête du régulateur de l’énergie. Après avoir été évincée du gouvernement en mai et largement battue lors d’une élection législative dans le Val-de-Marne, elle a obtenu un total de 43 voix pour et 48 voix contre sa nomination dans les deux chambres. Il ne suffit pas de faire dérailler sa nomination, puisque l’article 13 de la Constitution stipule que les députés doivent rassembler “au moins les trois cinquièmes des suffrages exprimés” pour s’opposer à une nomination proposée par l’Elysée. Avec grand honneur pour la confiance du président de la République et du Premier ministre Comme je m’y suis engagé lors des auditions parlementaires, avec le soutien de l’Assemblée nationale, j’exercerai mon mandat en toute indépendance, au service des Français. – Emmanuelle Wargon (@EmmWargon) 17 août 2022 Du côté de l’opposition, cette nomination ne passe pas. “Emmanuel Macron impose Emmanuelle Wargon”, s’agace le vice-président du groupe RN Jean-Philippe Tanguy, quand la gauche a dénoncé un “fait du prince” début août. Le Président de la République est bien entendu associé à la nomination des présidents des Autorités administratives indépendantes (AAI). L’ancien Premier ministre Jean Castex a été nommé par Emmanuel Macron, sur proposition d’Elisabeth Bourne, présidente de l’Agence pour le financement des infrastructures de transport en France (AFIT). Ce principe contribue au financement des grands projets de mobilité dans le cadre de la stratégie fixée par le gouvernement, sans avoir de pouvoir décisionnel. Une institution qui a pourtant été jugée de peu d’utilité par plusieurs rapports de la Cour des comptes, qualifiée notamment de “presque une coquille vide” et qui, selon les juges économiques, ne servirait qu’au ministère des Transports à contourner le budget loi, dans un résumé de 2016. Fin juillet, par arrêté présidentiel, l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn est arrivée à la Cour des comptes pour cinq ans non renouvelables. En février dernier, Jacqueline Gourault, alors ministre de la Cohésion des territoires, a pris un siège au Conseil constitutionnel. Mais le rappel des anciens ministres de l’Elysée atteint ses limites. “On ne pourra pas faire ça partout”, prévient un macroni scion, et certains “anciens” s’inquiètent du risque de polémique. Des interrogations subsistent sur l’avenir d’anciens compagnons de route comme Christophe Castaner, l’un des grands perdants des élections législatives, désormais sans mandat. Certains affirment qu’il cherche dans le privé, d’autres qu’il pourrait être intéressé par l’Adime, le service de la transition verte. A ce titre, il pourrait également bénéficier d’un coup de pouce présidentiel.
title: “Wargon Castex Buzyn Castaner Comment L Elys E Assure La Reformulation Des Chiffres De La Macronie Klmat” ShowToc: true date: “2022-10-27” author: “Marie Hites”
Cependant, début août, les députés s’étaient largement prononcés contre son arrivée à la tête du régulateur de l’énergie. Après avoir été évincée du gouvernement en mai et largement battue lors d’une élection législative dans le Val-de-Marne, elle a obtenu un total de 43 voix pour et 48 voix contre sa nomination dans les deux chambres. Il ne suffit pas de faire dérailler sa nomination, puisque l’article 13 de la Constitution stipule que les députés doivent rassembler “au moins les trois cinquièmes des suffrages exprimés” pour s’opposer à une nomination proposée par l’Elysée. Avec grand honneur pour la confiance du président de la République et du Premier ministre Comme je m’y suis engagé lors des auditions parlementaires, avec le soutien de l’Assemblée nationale, j’exercerai mon mandat en toute indépendance, au service des Français. – Emmanuelle Wargon (@EmmWargon) 17 août 2022 Du côté de l’opposition, cette nomination ne passe pas. “Emmanuel Macron impose Emmanuelle Wargon”, s’agace le vice-président du groupe RN Jean-Philippe Tanguy, quand la gauche a dénoncé un “fait du prince” début août. Le Président de la République est bien entendu associé à la nomination des présidents des Autorités administratives indépendantes (AAI). L’ancien Premier ministre Jean Castex a été nommé par Emmanuel Macron, sur proposition d’Elisabeth Bourne, présidente de l’Agence pour le financement des infrastructures de transport en France (AFIT). Ce principe contribue au financement des grands projets de mobilité dans le cadre de la stratégie fixée par le gouvernement, sans avoir de pouvoir décisionnel. Une institution qui a pourtant été jugée de peu d’utilité par plusieurs rapports de la Cour des comptes, qualifiée notamment de “presque une coquille vide” et qui, selon les juges économiques, ne servirait qu’au ministère des Transports à contourner le budget loi, dans un résumé de 2016. Fin juillet, par arrêté présidentiel, l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn est arrivée à la Cour des comptes pour cinq ans non renouvelables. En février dernier, Jacqueline Gourault, alors ministre de la Cohésion des territoires, a pris un siège au Conseil constitutionnel. Mais le rappel des anciens ministres de l’Elysée atteint ses limites. “On ne pourra pas faire ça partout”, prévient un macroni scion, et certains “anciens” s’inquiètent du risque de polémique. Des interrogations subsistent sur l’avenir d’anciens compagnons de route comme Christophe Castaner, l’un des grands perdants des élections législatives, désormais sans mandat. Certains affirment qu’il cherche dans le privé, d’autres qu’il pourrait être intéressé par l’Adime, le service de la transition verte. A ce titre, il pourrait également bénéficier d’un coup de pouce présidentiel.
title: “Wargon Castex Buzyn Castaner Comment L Elys E Assure La Reformulation Des Chiffres De La Macronie Klmat” ShowToc: true date: “2022-10-28” author: “Alice Estes”
Cependant, début août, les députés s’étaient largement prononcés contre son arrivée à la tête du régulateur de l’énergie. Après avoir été évincée du gouvernement en mai et largement battue lors d’une élection législative dans le Val-de-Marne, elle a obtenu un total de 43 voix pour et 48 voix contre sa nomination dans les deux chambres. Il ne suffit pas de faire dérailler sa nomination, puisque l’article 13 de la Constitution stipule que les députés doivent rassembler “au moins les trois cinquièmes des suffrages exprimés” pour s’opposer à une nomination proposée par l’Elysée. Avec grand honneur pour la confiance du président de la République et du Premier ministre Comme je m’y suis engagé lors des auditions parlementaires, avec le soutien de l’Assemblée nationale, j’exercerai mon mandat en toute indépendance, au service des Français. – Emmanuelle Wargon (@EmmWargon) 17 août 2022 Du côté de l’opposition, cette nomination ne passe pas. “Emmanuel Macron impose Emmanuelle Wargon”, s’agace le vice-président du groupe RN Jean-Philippe Tanguy, quand la gauche a dénoncé un “fait du prince” début août. Le Président de la République est bien entendu associé à la nomination des présidents des Autorités administratives indépendantes (AAI). L’ancien Premier ministre Jean Castex a été nommé par Emmanuel Macron, sur proposition d’Elisabeth Bourne, présidente de l’Agence pour le financement des infrastructures de transport en France (AFIT). Ce principe contribue au financement des grands projets de mobilité dans le cadre de la stratégie fixée par le gouvernement, sans avoir de pouvoir décisionnel. Une institution qui a pourtant été jugée de peu d’utilité par plusieurs rapports de la Cour des comptes, qualifiée notamment de “presque une coquille vide” et qui, selon les juges économiques, ne servirait qu’au ministère des Transports à contourner le budget loi, dans un résumé de 2016. Fin juillet, par arrêté présidentiel, l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn est arrivée à la Cour des comptes pour cinq ans non renouvelables. En février dernier, Jacqueline Gourault, alors ministre de la Cohésion des territoires, a pris un siège au Conseil constitutionnel. Mais le rappel des anciens ministres de l’Elysée atteint ses limites. “On ne pourra pas faire ça partout”, prévient un macroni scion, et certains “anciens” s’inquiètent du risque de polémique. Des interrogations subsistent sur l’avenir d’anciens compagnons de route comme Christophe Castaner, l’un des grands perdants des élections législatives, désormais sans mandat. Certains affirment qu’il cherche dans le privé, d’autres qu’il pourrait être intéressé par l’Adime, le service de la transition verte. A ce titre, il pourrait également bénéficier d’un coup de pouce présidentiel.