Il ne se passe guère de semaine sans que Dmitri Medvedev ne prononce de nouvelles menaces. Alors que Moscou et Kyiv continuent de s’accuser mutuellement des bombardements intempestifs autour de la centrale nucléaire de Zaporijia, capturée par les Russes, dans le sud de l’Ukraine, il a écrit le vendredi 12 août sur son compte Telegram : « Les bâtards de Kiev et leurs mécènes occidentaux se montrent prêts à organiser un nouveau Tchernobyl. (…) Que puis-je dire… N’oublions pas que l’Union européenne a aussi des centrales nucléaires. Et qu’il y a aussi des accidents possibles. » Lire aussi : Guerre en Ukraine, en direct : le chef de l’ONU revient en Ukraine, près de six mois après le début de l’invasion russe
La veille, le 11 août, l’ancien président russe s’est rendu pour la première fois dans le Donbass, à la tête d’une importante délégation, qui comprenait le chef adjoint de l’administration présidentielle russe Sergueï Kirienko, le chef du service de sécurité (FSB) Alexander Bortnikov, le ministre de l’Intérieur Vladimir Kolokoltsev et le président de la commission d’enquête, la branche judiciaire du Kremlin, Alexander Bastrykin. “Une attention particulière a été portée à l’harmonisation de la législation” des régions séparatistes avec celle de la Russie, ainsi qu’à la réparation des infrastructures et à la restauration des écoles pour la rentrée, avait alors déclaré Dmitri Medvedev. Actuellement vice-président du Conseil de sécurité russe, il était en mission pour préparer l’annexion de ces territoires occupés dans l’est de l’Ukraine. Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Dmitri Medvedev à Moscou contre les « dégénérés » de l’Occident
Il est ensuite allé, le 16 août, faire l’éloge de l’armement russe lors d’une visite au forum militaire Armée-2022 qui se tient actuellement près de Moscou, dans le sillage de Vladimir Poutine, qui venait d’y expliquer que « l’armée russe porte clairement pas à pas toutes les tâches qui lui sont assignées pour libérer la terre du Donbass ». Dans le même temps, la discrimination violente et haineuse de Dmitri Medvedev s’accroît. Le 9 août, sur Twitter cette fois, il s’en prend au Premier ministre estonien, Kaja Kallas, coupable d’avoir “suivi le tapis du chef clown d’Ukraine”. [Volodymyr Zelensky], a débité une autre bêtise nazie » après avoir parlé d’interdire les visas touristiques aux citoyens russes. “Être libre n’est pas votre mérite, mais notre faute”, souligne-t-il ensuite, reprenant ainsi une expression à peine voilée du KGB, connue des seuls initiés, à l’époque soviétique : “Vous êtes libre, non pas parce que vous êtes innocent, mais parce que nous avons mal travaillé. Le même jour, il compare le président ukrainien à Hitler. Il vous reste 71,45% de cet article à lire. Ce qui suit est réservé aux abonnés.


title: “En Russie Les D Rives De Dmitri Medvedev Un Lib Ral Devenu L Un Des Plus Durs Du R Gime De Poutine Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-10” author: “Robert Palmese”


Il ne se passe guère de semaine sans que Dmitri Medvedev ne prononce de nouvelles menaces. Alors que Moscou et Kyiv continuent de s’accuser mutuellement des bombardements intempestifs autour de la centrale nucléaire de Zaporijia, capturée par les Russes, dans le sud de l’Ukraine, il a écrit le vendredi 12 août sur son compte Telegram : « Les bâtards de Kiev et leurs mécènes occidentaux se montrent prêts à organiser un nouveau Tchernobyl. (…) Que puis-je dire… N’oublions pas que l’Union européenne a aussi des centrales nucléaires. Et qu’il y a aussi des accidents possibles. » Lire aussi : Guerre en Ukraine, en direct : le chef de l’ONU revient en Ukraine, près de six mois après le début de l’invasion russe
La veille, le 11 août, l’ancien président russe s’est rendu pour la première fois dans le Donbass, à la tête d’une importante délégation, qui comprenait le chef adjoint de l’administration présidentielle russe Sergueï Kirienko, le chef du service de sécurité (FSB) Alexander Bortnikov, le ministre de l’Intérieur Vladimir Kolokoltsev et le président de la commission d’enquête, la branche judiciaire du Kremlin, Alexander Bastrykin. “Une attention particulière a été portée à l’harmonisation de la législation” des régions séparatistes avec celle de la Russie, ainsi qu’à la réparation des infrastructures et à la restauration des écoles pour la rentrée, avait alors déclaré Dmitri Medvedev. Actuellement vice-président du Conseil de sécurité russe, il était en mission pour préparer l’annexion de ces territoires occupés dans l’est de l’Ukraine. Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Dmitri Medvedev à Moscou contre les « dégénérés » de l’Occident
Il est ensuite allé, le 16 août, faire l’éloge de l’armement russe lors d’une visite au forum militaire Armée-2022 qui se tient actuellement près de Moscou, dans le sillage de Vladimir Poutine, qui venait d’y expliquer que « l’armée russe porte clairement pas à pas toutes les tâches qui lui sont assignées pour libérer la terre du Donbass ». Dans le même temps, la discrimination violente et haineuse de Dmitri Medvedev s’accroît. Le 9 août, sur Twitter cette fois, il s’en prend au Premier ministre estonien, Kaja Kallas, coupable d’avoir “suivi le tapis du chef clown d’Ukraine”. [Volodymyr Zelensky], a débité une autre bêtise nazie » après avoir parlé d’interdire les visas touristiques aux citoyens russes. “Être libre n’est pas votre mérite, mais notre faute”, souligne-t-il ensuite, reprenant ainsi une expression à peine voilée du KGB, connue des seuls initiés, à l’époque soviétique : “Vous êtes libre, non pas parce que vous êtes innocent, mais parce que nous avons mal travaillé. Le même jour, il compare le président ukrainien à Hitler. Il vous reste 71,45% de cet article à lire. Ce qui suit est réservé aux abonnés.


title: “En Russie Les D Rives De Dmitri Medvedev Un Lib Ral Devenu L Un Des Plus Durs Du R Gime De Poutine Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-14” author: “Barbara Romero”


Il ne se passe guère de semaine sans que Dmitri Medvedev ne prononce de nouvelles menaces. Alors que Moscou et Kyiv continuent de s’accuser mutuellement des bombardements intempestifs autour de la centrale nucléaire de Zaporijia, capturée par les Russes, dans le sud de l’Ukraine, il a écrit le vendredi 12 août sur son compte Telegram : « Les bâtards de Kiev et leurs mécènes occidentaux se montrent prêts à organiser un nouveau Tchernobyl. (…) Que puis-je dire… N’oublions pas que l’Union européenne a aussi des centrales nucléaires. Et qu’il y a aussi des accidents possibles. » Lire aussi : Guerre en Ukraine, en direct : le chef de l’ONU revient en Ukraine, près de six mois après le début de l’invasion russe
La veille, le 11 août, l’ancien président russe s’est rendu pour la première fois dans le Donbass, à la tête d’une importante délégation, qui comprenait le chef adjoint de l’administration présidentielle russe Sergueï Kirienko, le chef du service de sécurité (FSB) Alexander Bortnikov, le ministre de l’Intérieur Vladimir Kolokoltsev et le président de la commission d’enquête, la branche judiciaire du Kremlin, Alexander Bastrykin. “Une attention particulière a été portée à l’harmonisation de la législation” des régions séparatistes avec celle de la Russie, ainsi qu’à la réparation des infrastructures et à la restauration des écoles pour la rentrée, avait alors déclaré Dmitri Medvedev. Actuellement vice-président du Conseil de sécurité russe, il était en mission pour préparer l’annexion de ces territoires occupés dans l’est de l’Ukraine. Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Dmitri Medvedev à Moscou contre les « dégénérés » de l’Occident
Il est ensuite allé, le 16 août, faire l’éloge de l’armement russe lors d’une visite au forum militaire Armée-2022 qui se tient actuellement près de Moscou, dans le sillage de Vladimir Poutine, qui venait d’y expliquer que « l’armée russe porte clairement pas à pas toutes les tâches qui lui sont assignées pour libérer la terre du Donbass ». Dans le même temps, la discrimination violente et haineuse de Dmitri Medvedev s’accroît. Le 9 août, sur Twitter cette fois, il s’en prend au Premier ministre estonien, Kaja Kallas, coupable d’avoir “suivi le tapis du chef clown d’Ukraine”. [Volodymyr Zelensky], a débité une autre bêtise nazie » après avoir parlé d’interdire les visas touristiques aux citoyens russes. “Être libre n’est pas votre mérite, mais notre faute”, souligne-t-il ensuite, reprenant ainsi une expression à peine voilée du KGB, connue des seuls initiés, à l’époque soviétique : “Vous êtes libre, non pas parce que vous êtes innocent, mais parce que nous avons mal travaillé. Le même jour, il compare le président ukrainien à Hitler. Il vous reste 71,45% de cet article à lire. Ce qui suit est réservé aux abonnés.


title: “En Russie Les D Rives De Dmitri Medvedev Un Lib Ral Devenu L Un Des Plus Durs Du R Gime De Poutine Klmat” ShowToc: true date: “2022-10-29” author: “Todd Barnes”


Il ne se passe guère de semaine sans que Dmitri Medvedev ne prononce de nouvelles menaces. Alors que Moscou et Kyiv continuent de s’accuser mutuellement des bombardements intempestifs autour de la centrale nucléaire de Zaporijia, capturée par les Russes, dans le sud de l’Ukraine, il a écrit le vendredi 12 août sur son compte Telegram : « Les bâtards de Kiev et leurs mécènes occidentaux se montrent prêts à organiser un nouveau Tchernobyl. (…) Que puis-je dire… N’oublions pas que l’Union européenne a aussi des centrales nucléaires. Et qu’il y a aussi des accidents possibles. » Lire aussi : Guerre en Ukraine, en direct : le chef de l’ONU revient en Ukraine, près de six mois après le début de l’invasion russe
La veille, le 11 août, l’ancien président russe s’est rendu pour la première fois dans le Donbass, à la tête d’une importante délégation, qui comprenait le chef adjoint de l’administration présidentielle russe Sergueï Kirienko, le chef du service de sécurité (FSB) Alexander Bortnikov, le ministre de l’Intérieur Vladimir Kolokoltsev et le président de la commission d’enquête, la branche judiciaire du Kremlin, Alexander Bastrykin. “Une attention particulière a été portée à l’harmonisation de la législation” des régions séparatistes avec celle de la Russie, ainsi qu’à la réparation des infrastructures et à la restauration des écoles pour la rentrée, avait alors déclaré Dmitri Medvedev. Actuellement vice-président du Conseil de sécurité russe, il était en mission pour préparer l’annexion de ces territoires occupés dans l’est de l’Ukraine. Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Dmitri Medvedev à Moscou contre les « dégénérés » de l’Occident
Il est ensuite allé, le 16 août, faire l’éloge de l’armement russe lors d’une visite au forum militaire Armée-2022 qui se tient actuellement près de Moscou, dans le sillage de Vladimir Poutine, qui venait d’y expliquer que « l’armée russe porte clairement pas à pas toutes les tâches qui lui sont assignées pour libérer la terre du Donbass ». Dans le même temps, la discrimination violente et haineuse de Dmitri Medvedev s’accroît. Le 9 août, sur Twitter cette fois, il s’en prend au Premier ministre estonien, Kaja Kallas, coupable d’avoir “suivi le tapis du chef clown d’Ukraine”. [Volodymyr Zelensky], a débité une autre bêtise nazie » après avoir parlé d’interdire les visas touristiques aux citoyens russes. “Être libre n’est pas votre mérite, mais notre faute”, souligne-t-il ensuite, reprenant ainsi une expression à peine voilée du KGB, connue des seuls initiés, à l’époque soviétique : “Vous êtes libre, non pas parce que vous êtes innocent, mais parce que nous avons mal travaillé. Le même jour, il compare le président ukrainien à Hitler. Il vous reste 71,45% de cet article à lire. Ce qui suit est réservé aux abonnés.


title: “En Russie Les D Rives De Dmitri Medvedev Un Lib Ral Devenu L Un Des Plus Durs Du R Gime De Poutine Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-04” author: “Damon Hughes”


Il ne se passe guère de semaine sans que Dmitri Medvedev ne prononce de nouvelles menaces. Alors que Moscou et Kyiv continuent de s’accuser mutuellement des bombardements intempestifs autour de la centrale nucléaire de Zaporijia, capturée par les Russes, dans le sud de l’Ukraine, il a écrit le vendredi 12 août sur son compte Telegram : « Les bâtards de Kiev et leurs mécènes occidentaux se montrent prêts à organiser un nouveau Tchernobyl. (…) Que puis-je dire… N’oublions pas que l’Union européenne a aussi des centrales nucléaires. Et qu’il y a aussi des accidents possibles. » Lire aussi : Guerre en Ukraine, en direct : le chef de l’ONU revient en Ukraine, près de six mois après le début de l’invasion russe
La veille, le 11 août, l’ancien président russe s’est rendu pour la première fois dans le Donbass, à la tête d’une importante délégation, qui comprenait le chef adjoint de l’administration présidentielle russe Sergueï Kirienko, le chef du service de sécurité (FSB) Alexander Bortnikov, le ministre de l’Intérieur Vladimir Kolokoltsev et le président de la commission d’enquête, la branche judiciaire du Kremlin, Alexander Bastrykin. “Une attention particulière a été portée à l’harmonisation de la législation” des régions séparatistes avec celle de la Russie, ainsi qu’à la réparation des infrastructures et à la restauration des écoles pour la rentrée, avait alors déclaré Dmitri Medvedev. Actuellement vice-président du Conseil de sécurité russe, il était en mission pour préparer l’annexion de ces territoires occupés dans l’est de l’Ukraine. Lire aussi : Article réservé à nos abonnés Dmitri Medvedev à Moscou contre les « dégénérés » de l’Occident
Il est ensuite allé, le 16 août, faire l’éloge de l’armement russe lors d’une visite au forum militaire Armée-2022 qui se tient actuellement près de Moscou, dans le sillage de Vladimir Poutine, qui venait d’y expliquer que « l’armée russe porte clairement pas à pas toutes les tâches qui lui sont assignées pour libérer la terre du Donbass ». Dans le même temps, la discrimination violente et haineuse de Dmitri Medvedev s’accroît. Le 9 août, sur Twitter cette fois, il s’en prend au Premier ministre estonien, Kaja Kallas, coupable d’avoir “suivi le tapis du chef clown d’Ukraine”. [Volodymyr Zelensky], a débité une autre bêtise nazie » après avoir parlé d’interdire les visas touristiques aux citoyens russes. “Être libre n’est pas votre mérite, mais notre faute”, souligne-t-il ensuite, reprenant ainsi une expression à peine voilée du KGB, connue des seuls initiés, à l’époque soviétique : “Vous êtes libre, non pas parce que vous êtes innocent, mais parce que nous avons mal travaillé. Le même jour, il compare le président ukrainien à Hitler. Il vous reste 71,45% de cet article à lire. Ce qui suit est réservé aux abonnés.