• À lire aussi : Manifestant blessé au visage : le policier a droit à une nouvelle audition • À lire aussi : Accord amical entre Québec et un ancien manifestant blessé au visage • À lire aussi : Manifestant touché par balle : la Commission de déontologie policière met en accusation l’agent Charles-Scott Simard Le policier Simard était responsable des irritants chimiques dans une unité de maintien et de rétablissement de l’ordre lors d’une manifestation étudiante anti-austérité qui a viré à l’affrontement devant l’Assemblée nationale le 26 mars 2015. Instantané photo, Impact Campus
De son côté, l’étudiante Naomie Tremblay-Trudeau faisait partie d’un groupe tentant de faire pression sur la police lorsqu’elle a été blessée au visage par des débris d’une cartouche de gaz irritant tirée par l’agent Simard. La scène avait fait grand bruit à l’époque. En 2017, une première décision de la Commission de déontologie policière avait conclu que le gendarme avait commis un acte dérogatoire en n’utilisant pas son arme chimique irritante avec précaution et discrétion, ce qui lui avait valu une suspension de deux jours. Cependant, l’affaire avait été portée en appel et la Commission avait été priée de reprendre ses travaux par la Cour du Québec en 2019. Les parties ont donc été convoquées à une nouvelle audience qui a examiné le dossier. Renverser Puis, rebondissement mardi dernier : dans un nouveau jugement, la juge administrative Sylvie Seguin a totalement disculpé l’officier, mettant fin à cette longue saga. En substance, elle conclut que le gendarme Simard a utilisé son arme conformément à la formation qu’il a reçue au SPVQ. Selon les «preuves dominantes», il ne mentionnait pas la distance minimale à respecter ni aucun danger, à l’exception d’un avertissement général du fabricant. Ainsi, lors de cet événement, « l’agent Simard a évalué avec justesse son entourage en faisant preuve de toute l’attention et du discernement attendus », a jugé le tribunal. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.


title: “Un Policier De Qu Bec Est Innocent D Avoir Bless Un Manifestant Klmat” ShowToc: true date: “2022-10-24” author: “Claudette Crow”


• À lire aussi : Manifestant blessé au visage : le policier a droit à une nouvelle audition • À lire aussi : Accord amical entre Québec et un ancien manifestant blessé au visage • À lire aussi : Manifestant touché par balle : la Commission de déontologie policière met en accusation l’agent Charles-Scott Simard Le policier Simard était responsable des irritants chimiques dans une unité de maintien et de rétablissement de l’ordre lors d’une manifestation étudiante anti-austérité qui a viré à l’affrontement devant l’Assemblée nationale le 26 mars 2015. Instantané photo, Impact Campus
De son côté, l’étudiante Naomie Tremblay-Trudeau faisait partie d’un groupe tentant de faire pression sur la police lorsqu’elle a été blessée au visage par des débris d’une cartouche de gaz irritant tirée par l’agent Simard. La scène avait fait grand bruit à l’époque. En 2017, une première décision de la Commission de déontologie policière avait conclu que le gendarme avait commis un acte dérogatoire en n’utilisant pas son arme chimique irritante avec précaution et discrétion, ce qui lui avait valu une suspension de deux jours. Cependant, l’affaire avait été portée en appel et la Commission avait été priée de reprendre ses travaux par la Cour du Québec en 2019. Les parties ont donc été convoquées à une nouvelle audience qui a examiné le dossier. Renverser Puis, rebondissement mardi dernier : dans un nouveau jugement, la juge administrative Sylvie Seguin a totalement disculpé l’officier, mettant fin à cette longue saga. En substance, elle conclut que le gendarme Simard a utilisé son arme conformément à la formation qu’il a reçue au SPVQ. Selon les «preuves dominantes», il ne mentionnait pas la distance minimale à respecter ni aucun danger, à l’exception d’un avertissement général du fabricant. Ainsi, lors de cet événement, « l’agent Simard a évalué avec justesse son entourage en faisant preuve de toute l’attention et du discernement attendus », a jugé le tribunal. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.


title: “Un Policier De Qu Bec Est Innocent D Avoir Bless Un Manifestant Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-01” author: “Charles Ward”


• À lire aussi : Manifestant blessé au visage : le policier a droit à une nouvelle audition • À lire aussi : Accord amical entre Québec et un ancien manifestant blessé au visage • À lire aussi : Manifestant touché par balle : la Commission de déontologie policière met en accusation l’agent Charles-Scott Simard Le policier Simard était responsable des irritants chimiques dans une unité de maintien et de rétablissement de l’ordre lors d’une manifestation étudiante anti-austérité qui a viré à l’affrontement devant l’Assemblée nationale le 26 mars 2015. Instantané photo, Impact Campus
De son côté, l’étudiante Naomie Tremblay-Trudeau faisait partie d’un groupe tentant de faire pression sur la police lorsqu’elle a été blessée au visage par des débris d’une cartouche de gaz irritant tirée par l’agent Simard. La scène avait fait grand bruit à l’époque. En 2017, une première décision de la Commission de déontologie policière avait conclu que le gendarme avait commis un acte dérogatoire en n’utilisant pas son arme chimique irritante avec précaution et discrétion, ce qui lui avait valu une suspension de deux jours. Cependant, l’affaire avait été portée en appel et la Commission avait été priée de reprendre ses travaux par la Cour du Québec en 2019. Les parties ont donc été convoquées à une nouvelle audience qui a examiné le dossier. Renverser Puis, rebondissement mardi dernier : dans un nouveau jugement, la juge administrative Sylvie Seguin a totalement disculpé l’officier, mettant fin à cette longue saga. En substance, elle conclut que le gendarme Simard a utilisé son arme conformément à la formation qu’il a reçue au SPVQ. Selon les «preuves dominantes», il ne mentionnait pas la distance minimale à respecter ni aucun danger, à l’exception d’un avertissement général du fabricant. Ainsi, lors de cet événement, « l’agent Simard a évalué avec justesse son entourage en faisant preuve de toute l’attention et du discernement attendus », a jugé le tribunal. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.


title: “Un Policier De Qu Bec Est Innocent D Avoir Bless Un Manifestant Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-19” author: “Rebecca Elkins”


• À lire aussi : Manifestant blessé au visage : le policier a droit à une nouvelle audition • À lire aussi : Accord amical entre Québec et un ancien manifestant blessé au visage • À lire aussi : Manifestant touché par balle : la Commission de déontologie policière met en accusation l’agent Charles-Scott Simard Le policier Simard était responsable des irritants chimiques dans une unité de maintien et de rétablissement de l’ordre lors d’une manifestation étudiante anti-austérité qui a viré à l’affrontement devant l’Assemblée nationale le 26 mars 2015. Instantané photo, Impact Campus
De son côté, l’étudiante Naomie Tremblay-Trudeau faisait partie d’un groupe tentant de faire pression sur la police lorsqu’elle a été blessée au visage par des débris d’une cartouche de gaz irritant tirée par l’agent Simard. La scène avait fait grand bruit à l’époque. En 2017, une première décision de la Commission de déontologie policière avait conclu que le gendarme avait commis un acte dérogatoire en n’utilisant pas son arme chimique irritante avec précaution et discrétion, ce qui lui avait valu une suspension de deux jours. Cependant, l’affaire avait été portée en appel et la Commission avait été priée de reprendre ses travaux par la Cour du Québec en 2019. Les parties ont donc été convoquées à une nouvelle audience qui a examiné le dossier. Renverser Puis, rebondissement mardi dernier : dans un nouveau jugement, la juge administrative Sylvie Seguin a totalement disculpé l’officier, mettant fin à cette longue saga. En substance, elle conclut que le gendarme Simard a utilisé son arme conformément à la formation qu’il a reçue au SPVQ. Selon les «preuves dominantes», il ne mentionnait pas la distance minimale à respecter ni aucun danger, à l’exception d’un avertissement général du fabricant. Ainsi, lors de cet événement, « l’agent Simard a évalué avec justesse son entourage en faisant preuve de toute l’attention et du discernement attendus », a jugé le tribunal. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.


title: “Un Policier De Qu Bec Est Innocent D Avoir Bless Un Manifestant Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-03” author: “Shawn Zinzow”


• À lire aussi : Manifestant blessé au visage : le policier a droit à une nouvelle audition • À lire aussi : Accord amical entre Québec et un ancien manifestant blessé au visage • À lire aussi : Manifestant touché par balle : la Commission de déontologie policière met en accusation l’agent Charles-Scott Simard Le policier Simard était responsable des irritants chimiques dans une unité de maintien et de rétablissement de l’ordre lors d’une manifestation étudiante anti-austérité qui a viré à l’affrontement devant l’Assemblée nationale le 26 mars 2015. Instantané photo, Impact Campus
De son côté, l’étudiante Naomie Tremblay-Trudeau faisait partie d’un groupe tentant de faire pression sur la police lorsqu’elle a été blessée au visage par des débris d’une cartouche de gaz irritant tirée par l’agent Simard. La scène avait fait grand bruit à l’époque. En 2017, une première décision de la Commission de déontologie policière avait conclu que le gendarme avait commis un acte dérogatoire en n’utilisant pas son arme chimique irritante avec précaution et discrétion, ce qui lui avait valu une suspension de deux jours. Cependant, l’affaire avait été portée en appel et la Commission avait été priée de reprendre ses travaux par la Cour du Québec en 2019. Les parties ont donc été convoquées à une nouvelle audience qui a examiné le dossier. Renverser Puis, rebondissement mardi dernier : dans un nouveau jugement, la juge administrative Sylvie Seguin a totalement disculpé l’officier, mettant fin à cette longue saga. En substance, elle conclut que le gendarme Simard a utilisé son arme conformément à la formation qu’il a reçue au SPVQ. Selon les «preuves dominantes», il ne mentionnait pas la distance minimale à respecter ni aucun danger, à l’exception d’un avertissement général du fabricant. Ainsi, lors de cet événement, « l’agent Simard a évalué avec justesse son entourage en faisant preuve de toute l’attention et du discernement attendus », a jugé le tribunal. Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.