• À lire aussi : Dans l’œil de Québec inc. : La Caisse de dépôt investit en Californie • Lire aussi : WSP reprend RPS pour près d’un milliard de dollars “Nous ne voulons jamais cela, une performance négative, c’est sûr, mais nous ne contrôlons pas l’environnement dans lequel nous nous trouvons. […] Mais le fonds a un portefeuille solide, nous sommes sur des bases solides et nos déposants aussi », a-t-il déclaré au Journal.
L’institution a affiché un rendement de -7,9 %, ce qui est toujours au-dessus de son indice de référence à -10,5 %. Il faut remonter à la crise financière de 2008 pour voir une chute aussi brutale de la CDPQ, mais la chute a été beaucoup plus importante (-25 %). Avec cette incursion dans le rouge, les actifs de l’institution s’élèvent désormais à 392 milliards de dollars, soit une baisse de plus de 28 milliards de dollars par rapport à fin 2021. “C’est un gros chiffre, c’est sûr, mais ce n’est pas une perte réalisée, c’est bien mieux que le fonds de pension moyen qui est à -14%-15%”, a souligné M. Emond. Tempête sur les marchés Ces résultats pour les Québécois sont toutefois inférieurs à ceux d’un régime de retraite des enseignants ontarien comparable, le Teachers, qui a révélé un rendement positif de 1,2 % pour le premier semestre. “Avec les Masters, la grande différence, ils ont peut-être 9 à 10 % du marché boursier alors que nous et d’autres pairs avons 25 à 30 %”, a expliqué le dirigeant.
La tempête a touché presque tous les secteurs, y compris les marchés boursiers et obligataires, qui ont connu la première correction simultanée depuis 1969. “Ce cadre informel, caractérisé par l’instabilité, va perdurer encore un certain temps”, a prévenu M. Emond. Ainsi, le portefeuille d’actions a été fortement ébranlé et le rendement a chuté de 16 %, ce qui est toujours au-dessus de leur portefeuille de référence à -17,2 %. La situation pourrait se rétablir car les marchés boursiers se sont redressés ces dernières semaines. “Juillet a été le meilleur mois depuis près de deux ans pour le marché boursier”, a expliqué M. Emond. Avec l’inflation et la hausse rapide des taux d’intérêt, le marché obligataire a connu des difficultés, affectant le portefeuille de titres à revenu fixe (qui comprend des obligations) avec un rendement négatif de 13,1 %. Les autres portefeuilles ont mieux performé, principalement les placements privés (actions de sociétés non cotées) où le rendement a été de -2,4%, le secteur immobilier (+10,2%) et le secteur des infrastructures (+5,8%). Les 200 millions de dollars en degrés Celsius ont été supprimés De plus, M. Emmett a fait son mea culpa dans l’affaire de l’effondrement du réseau Celsius dans lequel il estime déjà avoir tout perdu. « Ne vous méprenez pas, personne à la Caisse n’est satisfait de la tournure des événements », a-t-il dit. En juillet, la société américaine s’est mise à l’abri de ses créanciers. Dans des documents déposés au tribunal de New York, il a attribué son insolvabilité à de “mauvaises décisions” concernant les investissements. Pas moins de 1,7 million d’investisseurs particuliers en ont fait les frais. Le chef de la direction a également reconnu avoir pris la décision de radier les investissements de la Caisse dans cette entreprise. Cette radiation est évaluée à 150 millions de dollars américains (environ 200 millions de dollars canadiens). La CDPQ a également indiqué qu’elle envisageait des recours judiciaires dans cette affaire.

Début d’année difficile pour la Caisse

Rendements semestriels au 30 juin : total -7,9% Bourses : -16,0% Revenu fixe : -13,1 % Placements privés : -2,4% Infrastructures : +5,6 % Bâtiments : +10,2%

Avez-vous des informations à partager avec nous sur cette histoire ? Vous avez un scoop qui pourrait intéresser nos lecteurs ? Écrivez-nous ou appelez-nous directement au 1 800-63SCOOP.


title: “Pire Moiti Des March S En 50 Ans Le Grand Patron De La Cdpq Se Veut Rassurant Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-09” author: “Juanita Bennett”


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L’institution a affiché un rendement de -7,9 %, ce qui est toujours au-dessus de son indice de référence à -10,5 %. Il faut remonter à la crise financière de 2008 pour voir une chute aussi brutale de la CDPQ, mais la chute a été beaucoup plus importante (-25 %). Avec cette incursion dans le rouge, les actifs de l’institution s’élèvent désormais à 392 milliards de dollars, soit une baisse de plus de 28 milliards de dollars par rapport à fin 2021. “C’est un gros chiffre, c’est sûr, mais ce n’est pas une perte réalisée, c’est bien mieux que le fonds de pension moyen qui est à -14%-15%”, a souligné M. Emond. Tempête sur les marchés Ces résultats pour les Québécois sont toutefois inférieurs à ceux d’un régime de retraite des enseignants ontarien comparable, le Teachers, qui a révélé un rendement positif de 1,2 % pour le premier semestre. “Avec les Masters, la grande différence, ils ont peut-être 9 à 10 % du marché boursier alors que nous et d’autres pairs avons 25 à 30 %”, a expliqué le dirigeant.
La tempête a touché presque tous les secteurs, y compris les marchés boursiers et obligataires, qui ont connu la première correction simultanée depuis 1969. “Ce cadre informel, caractérisé par l’instabilité, va perdurer encore un certain temps”, a prévenu M. Emond. Ainsi, le portefeuille d’actions a été fortement ébranlé et le rendement a chuté de 16 %, ce qui est toujours au-dessus de leur portefeuille de référence à -17,2 %. La situation pourrait se rétablir car les marchés boursiers se sont redressés ces dernières semaines. “Juillet a été le meilleur mois depuis près de deux ans pour le marché boursier”, a expliqué M. Emond. Avec l’inflation et la hausse rapide des taux d’intérêt, le marché obligataire a connu des difficultés, affectant le portefeuille de titres à revenu fixe (qui comprend des obligations) avec un rendement négatif de 13,1 %. Les autres portefeuilles ont mieux performé, principalement les placements privés (actions de sociétés non cotées) où le rendement a été de -2,4%, le secteur immobilier (+10,2%) et le secteur des infrastructures (+5,8%). Les 200 millions de dollars en degrés Celsius ont été supprimés De plus, M. Emmett a fait son mea culpa dans l’affaire de l’effondrement du réseau Celsius dans lequel il estime déjà avoir tout perdu. « Ne vous méprenez pas, personne à la Caisse n’est satisfait de la tournure des événements », a-t-il dit. En juillet, la société américaine s’est mise à l’abri de ses créanciers. Dans des documents déposés au tribunal de New York, il a attribué son insolvabilité à de “mauvaises décisions” concernant les investissements. Pas moins de 1,7 million d’investisseurs particuliers en ont fait les frais. Le chef de la direction a également reconnu avoir pris la décision de radier les investissements de la Caisse dans cette entreprise. Cette radiation est évaluée à 150 millions de dollars américains (environ 200 millions de dollars canadiens). La CDPQ a également indiqué qu’elle envisageait des recours judiciaires dans cette affaire.

Début d’année difficile pour la Caisse

Rendements semestriels au 30 juin : total -7,9% Bourses : -16,0% Revenu fixe : -13,1 % Placements privés : -2,4% Infrastructures : +5,6 % Bâtiments : +10,2%

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title: “Pire Moiti Des March S En 50 Ans Le Grand Patron De La Cdpq Se Veut Rassurant Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-28” author: “Robert Carathers”


• À lire aussi : Dans l’œil de Québec inc. : La Caisse de dépôt investit en Californie • Lire aussi : WSP reprend RPS pour près d’un milliard de dollars “Nous ne voulons jamais cela, une performance négative, c’est sûr, mais nous ne contrôlons pas l’environnement dans lequel nous nous trouvons. […] Mais le fonds a un portefeuille solide, nous sommes sur des bases solides et nos déposants aussi », a-t-il déclaré au Journal.
L’institution a affiché un rendement de -7,9 %, ce qui est toujours au-dessus de son indice de référence à -10,5 %. Il faut remonter à la crise financière de 2008 pour voir une chute aussi brutale de la CDPQ, mais la chute a été beaucoup plus importante (-25 %). Avec cette incursion dans le rouge, les actifs de l’institution s’élèvent désormais à 392 milliards de dollars, soit une baisse de plus de 28 milliards de dollars par rapport à fin 2021. “C’est un gros chiffre, c’est sûr, mais ce n’est pas une perte réalisée, c’est bien mieux que le fonds de pension moyen qui est à -14%-15%”, a souligné M. Emond. Tempête sur les marchés Ces résultats pour les Québécois sont toutefois inférieurs à ceux d’un régime de retraite des enseignants ontarien comparable, le Teachers, qui a révélé un rendement positif de 1,2 % pour le premier semestre. “Avec les Masters, la grande différence, ils ont peut-être 9 à 10 % du marché boursier alors que nous et d’autres pairs avons 25 à 30 %”, a expliqué le dirigeant.
La tempête a touché presque tous les secteurs, y compris les marchés boursiers et obligataires, qui ont connu la première correction simultanée depuis 1969. “Ce cadre informel, caractérisé par l’instabilité, va perdurer encore un certain temps”, a prévenu M. Emond. Ainsi, le portefeuille d’actions a été fortement ébranlé et le rendement a chuté de 16 %, ce qui est toujours au-dessus de leur portefeuille de référence à -17,2 %. La situation pourrait se rétablir car les marchés boursiers se sont redressés ces dernières semaines. “Juillet a été le meilleur mois depuis près de deux ans pour le marché boursier”, a expliqué M. Emond. Avec l’inflation et la hausse rapide des taux d’intérêt, le marché obligataire a connu des difficultés, affectant le portefeuille de titres à revenu fixe (qui comprend des obligations) avec un rendement négatif de 13,1 %. Les autres portefeuilles ont mieux performé, principalement les placements privés (actions de sociétés non cotées) où le rendement a été de -2,4%, le secteur immobilier (+10,2%) et le secteur des infrastructures (+5,8%). Les 200 millions de dollars en degrés Celsius ont été supprimés De plus, M. Emmett a fait son mea culpa dans l’affaire de l’effondrement du réseau Celsius dans lequel il estime déjà avoir tout perdu. « Ne vous méprenez pas, personne à la Caisse n’est satisfait de la tournure des événements », a-t-il dit. En juillet, la société américaine s’est mise à l’abri de ses créanciers. Dans des documents déposés au tribunal de New York, il a attribué son insolvabilité à de “mauvaises décisions” concernant les investissements. Pas moins de 1,7 million d’investisseurs particuliers en ont fait les frais. Le chef de la direction a également reconnu avoir pris la décision de radier les investissements de la Caisse dans cette entreprise. Cette radiation est évaluée à 150 millions de dollars américains (environ 200 millions de dollars canadiens). La CDPQ a également indiqué qu’elle envisageait des recours judiciaires dans cette affaire.

Début d’année difficile pour la Caisse

Rendements semestriels au 30 juin : total -7,9% Bourses : -16,0% Revenu fixe : -13,1 % Placements privés : -2,4% Infrastructures : +5,6 % Bâtiments : +10,2%

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title: “Pire Moiti Des March S En 50 Ans Le Grand Patron De La Cdpq Se Veut Rassurant Klmat” ShowToc: true date: “2022-11-15” author: “Melvin Lang”


• À lire aussi : Dans l’œil de Québec inc. : La Caisse de dépôt investit en Californie • Lire aussi : WSP reprend RPS pour près d’un milliard de dollars “Nous ne voulons jamais cela, une performance négative, c’est sûr, mais nous ne contrôlons pas l’environnement dans lequel nous nous trouvons. […] Mais le fonds a un portefeuille solide, nous sommes sur des bases solides et nos déposants aussi », a-t-il déclaré au Journal.
L’institution a affiché un rendement de -7,9 %, ce qui est toujours au-dessus de son indice de référence à -10,5 %. Il faut remonter à la crise financière de 2008 pour voir une chute aussi brutale de la CDPQ, mais la chute a été beaucoup plus importante (-25 %). Avec cette incursion dans le rouge, les actifs de l’institution s’élèvent désormais à 392 milliards de dollars, soit une baisse de plus de 28 milliards de dollars par rapport à fin 2021. “C’est un gros chiffre, c’est sûr, mais ce n’est pas une perte réalisée, c’est bien mieux que le fonds de pension moyen qui est à -14%-15%”, a souligné M. Emond. Tempête sur les marchés Ces résultats pour les Québécois sont toutefois inférieurs à ceux d’un régime de retraite des enseignants ontarien comparable, le Teachers, qui a révélé un rendement positif de 1,2 % pour le premier semestre. “Avec les Masters, la grande différence, ils ont peut-être 9 à 10 % du marché boursier alors que nous et d’autres pairs avons 25 à 30 %”, a expliqué le dirigeant.
La tempête a touché presque tous les secteurs, y compris les marchés boursiers et obligataires, qui ont connu la première correction simultanée depuis 1969. “Ce cadre informel, caractérisé par l’instabilité, va perdurer encore un certain temps”, a prévenu M. Emond. Ainsi, le portefeuille d’actions a été fortement ébranlé et le rendement a chuté de 16 %, ce qui est toujours au-dessus de leur portefeuille de référence à -17,2 %. La situation pourrait se rétablir car les marchés boursiers se sont redressés ces dernières semaines. “Juillet a été le meilleur mois depuis près de deux ans pour le marché boursier”, a expliqué M. Emond. Avec l’inflation et la hausse rapide des taux d’intérêt, le marché obligataire a connu des difficultés, affectant le portefeuille de titres à revenu fixe (qui comprend des obligations) avec un rendement négatif de 13,1 %. Les autres portefeuilles ont mieux performé, principalement les placements privés (actions de sociétés non cotées) où le rendement a été de -2,4%, le secteur immobilier (+10,2%) et le secteur des infrastructures (+5,8%). Les 200 millions de dollars en degrés Celsius ont été supprimés De plus, M. Emmett a fait son mea culpa dans l’affaire de l’effondrement du réseau Celsius dans lequel il estime déjà avoir tout perdu. « Ne vous méprenez pas, personne à la Caisse n’est satisfait de la tournure des événements », a-t-il dit. En juillet, la société américaine s’est mise à l’abri de ses créanciers. Dans des documents déposés au tribunal de New York, il a attribué son insolvabilité à de “mauvaises décisions” concernant les investissements. Pas moins de 1,7 million d’investisseurs particuliers en ont fait les frais. Le chef de la direction a également reconnu avoir pris la décision de radier les investissements de la Caisse dans cette entreprise. Cette radiation est évaluée à 150 millions de dollars américains (environ 200 millions de dollars canadiens). La CDPQ a également indiqué qu’elle envisageait des recours judiciaires dans cette affaire.

Début d’année difficile pour la Caisse

Rendements semestriels au 30 juin : total -7,9% Bourses : -16,0% Revenu fixe : -13,1 % Placements privés : -2,4% Infrastructures : +5,6 % Bâtiments : +10,2%

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title: “Pire Moiti Des March S En 50 Ans Le Grand Patron De La Cdpq Se Veut Rassurant Klmat” ShowToc: true date: “2022-12-13” author: “Karen Dawkins”


• À lire aussi : Dans l’œil de Québec inc. : La Caisse de dépôt investit en Californie • Lire aussi : WSP reprend RPS pour près d’un milliard de dollars “Nous ne voulons jamais cela, une performance négative, c’est sûr, mais nous ne contrôlons pas l’environnement dans lequel nous nous trouvons. […] Mais le fonds a un portefeuille solide, nous sommes sur des bases solides et nos déposants aussi », a-t-il déclaré au Journal.
L’institution a affiché un rendement de -7,9 %, ce qui est toujours au-dessus de son indice de référence à -10,5 %. Il faut remonter à la crise financière de 2008 pour voir une chute aussi brutale de la CDPQ, mais la chute a été beaucoup plus importante (-25 %). Avec cette incursion dans le rouge, les actifs de l’institution s’élèvent désormais à 392 milliards de dollars, soit une baisse de plus de 28 milliards de dollars par rapport à fin 2021. “C’est un gros chiffre, c’est sûr, mais ce n’est pas une perte réalisée, c’est bien mieux que le fonds de pension moyen qui est à -14%-15%”, a souligné M. Emond. Tempête sur les marchés Ces résultats pour les Québécois sont toutefois inférieurs à ceux d’un régime de retraite des enseignants ontarien comparable, le Teachers, qui a révélé un rendement positif de 1,2 % pour le premier semestre. “Avec les Masters, la grande différence, ils ont peut-être 9 à 10 % du marché boursier alors que nous et d’autres pairs avons 25 à 30 %”, a expliqué le dirigeant.
La tempête a touché presque tous les secteurs, y compris les marchés boursiers et obligataires, qui ont connu la première correction simultanée depuis 1969. “Ce cadre informel, caractérisé par l’instabilité, va perdurer encore un certain temps”, a prévenu M. Emond. Ainsi, le portefeuille d’actions a été fortement ébranlé et le rendement a chuté de 16 %, ce qui est toujours au-dessus de leur portefeuille de référence à -17,2 %. La situation pourrait se rétablir car les marchés boursiers se sont redressés ces dernières semaines. “Juillet a été le meilleur mois depuis près de deux ans pour le marché boursier”, a expliqué M. Emond. Avec l’inflation et la hausse rapide des taux d’intérêt, le marché obligataire a connu des difficultés, affectant le portefeuille de titres à revenu fixe (qui comprend des obligations) avec un rendement négatif de 13,1 %. Les autres portefeuilles ont mieux performé, principalement les placements privés (actions de sociétés non cotées) où le rendement a été de -2,4%, le secteur immobilier (+10,2%) et le secteur des infrastructures (+5,8%). Les 200 millions de dollars en degrés Celsius ont été supprimés De plus, M. Emmett a fait son mea culpa dans l’affaire de l’effondrement du réseau Celsius dans lequel il estime déjà avoir tout perdu. « Ne vous méprenez pas, personne à la Caisse n’est satisfait de la tournure des événements », a-t-il dit. En juillet, la société américaine s’est mise à l’abri de ses créanciers. Dans des documents déposés au tribunal de New York, il a attribué son insolvabilité à de “mauvaises décisions” concernant les investissements. Pas moins de 1,7 million d’investisseurs particuliers en ont fait les frais. Le chef de la direction a également reconnu avoir pris la décision de radier les investissements de la Caisse dans cette entreprise. Cette radiation est évaluée à 150 millions de dollars américains (environ 200 millions de dollars canadiens). La CDPQ a également indiqué qu’elle envisageait des recours judiciaires dans cette affaire.

Début d’année difficile pour la Caisse

Rendements semestriels au 30 juin : total -7,9% Bourses : -16,0% Revenu fixe : -13,1 % Placements privés : -2,4% Infrastructures : +5,6 % Bâtiments : +10,2%

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