“Les appels se multiplient”, confie-t-il à Doit être la médiatrice de l’Archidiocèse de Montréal, Marie Christine Kirouack; Dans une entrevue mercredi, elle a déclaré avoir reçu au moins quatre «plaintes officielles» de femmes qui ont décidé de signaler les abus sexuels qu’elles prétendent avoir subis de la part de membres du clergé catholique à Montréal après avoir pris connaissance des «allégations importantes qui ont été faites». public mardi concernant le cardinal Marc Ouellet. “J’ai eu des femmes qui m’ont contacté pour me dire : ‘Elle avait le cran, je vais le faire’”, confie Me Kirouack à Doit êtrequi note ainsi que les accusations portées contre M. Ouellet, qui ne fait pas face à des accusations criminelles, ont eu un « effet domino ». Le devoir a tenté de contacter les principales métropoles à travers le Québec pour savoir si elles avaient constaté une augmentation des plaintes depuis mardi, mais seules celles de Sherbrooke et de Gatineau ont répondu à notre demande, affirmant n’avoir reçu aucune plainte pendant cette période. L’archevêque de Montréal, M. Christian Lépine, invite pour sa part « toute personne qui désire communiquer avec l’ombudsman » de son organisation. “Trop de gens ont vécu trop longtemps en silence sur les événements qui ont bouleversé leur vie”, a-t-il écrit dans un communiqué envoyé à Doit être. Dans le cadre d’un recours collectif contre le diocèse de Québec déposé mardi devant la cour de Québec, une jeune femme identifiée comme “F” témoigne avoir été agressée sexuellement en 2008 par le cardinal Marc Ouellet, qui l’avait approché en 2013 pour succéder au pape Benoît XVI. XVI. Au moment des faits allégués, la victime était âgée de 23 ans. « Si quelqu’un a pu dénoncer le cardinal Ouellet, pourquoi ne pourrais-je pas dénoncer mon curé ? « Commence l’avocat Alain Arsenault, qui représente les victimes présumées dans ce recours collectif, dont le nombre devrait croître dans les prochaines semaines, prédit-il. “Plus on parlera, plus on donnera d’exemples et plus on convaincra les victimes de sortir du placard”, croit aussi la représentante de l’Association des jeunes victimes de l’Église, Susan Tremblay. “Nous venons d’ouvrir la boîte de Pandore et cela va continuer dans les mois à venir”, prédit-il. Au final, “je pense que tous les diocèses vont le passer”, lance le représentant des victimes d’agressions sexuelles par des prêtres, Roger Lessard, qui espère aussi qu’en plus des excuses, l’Eglise indemnisera financièrement les victimes, “et rapidement”.
11 plaintes, 22 victimes
L’ombudsman Marie Christine Kirouack, qui a été embauchée par l’archidiocèse de Montréal en mai 2021 pour enquêter sur des allégations d’abus du clergé, a publié mercredi son quatrième rapport depuis son entrée en fonction. Celle-ci compile un recensement au 31 juillet 2022. L’ombudsman rapporte qu’elle a référé à un comité consultatif 11 plaintes impliquant autant de membres du clergé qu’elle en avait personnellement reçues initialement. Ces allégations impliquent “au moins 22 victimes” qui auraient été agressées sexuellement. Quatre d’entre eux étaient mineurs au moment des sévices allégués. Près de la moitié des événements présumés ont eu lieu dans les années 1990. “Maintenant et à l’exception des orphelins de Duplessis, les événements évoqués sont plus contemporains”, note Me Kirouak. Dans tous les cas, les agresseurs présumés sont des membres du clergé “qui étaient actifs ou qui en avaient encore la capacité” au moment du dépôt de la plainte auprès du Médiateur, précise ce dernier au Médiateur. Doit être. Les victimes qui se manifestent sont aussi de plus en plus des adultes, note-t-il.
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title: " Les Appels Se Multiplient Apr S Les All Gations Contre Le Cardinal Marc Ouellet Klmat" ShowToc: true date: “2022-12-01” author: “Norman Strauss”
“Les appels se multiplient”, confie-t-il à Doit être la médiatrice de l’Archidiocèse de Montréal, Marie Christine Kirouack; Dans une entrevue mercredi, elle a déclaré avoir reçu au moins quatre «plaintes officielles» de femmes qui ont décidé de signaler les abus sexuels qu’elles prétendent avoir subis de la part de membres du clergé catholique à Montréal après avoir pris connaissance des «allégations importantes qui ont été faites». public mardi concernant le cardinal Marc Ouellet. “J’ai eu des femmes qui m’ont contacté pour me dire : ‘Elle avait le cran, je vais le faire’”, confie Me Kirouack à Doit êtrequi note ainsi que les accusations portées contre M. Ouellet, qui ne fait pas face à des accusations criminelles, ont eu un « effet domino ». Le devoir a tenté de contacter les principales métropoles à travers le Québec pour savoir si elles avaient constaté une augmentation des plaintes depuis mardi, mais seules celles de Sherbrooke et de Gatineau ont répondu à notre demande, affirmant n’avoir reçu aucune plainte pendant cette période. L’archevêque de Montréal, M. Christian Lépine, invite pour sa part « toute personne qui désire communiquer avec l’ombudsman » de son organisation. “Trop de gens ont vécu trop longtemps en silence sur les événements qui ont bouleversé leur vie”, a-t-il écrit dans un communiqué envoyé à Doit être. Dans le cadre d’un recours collectif contre le diocèse de Québec déposé mardi devant la cour de Québec, une jeune femme identifiée comme “F” témoigne avoir été agressée sexuellement en 2008 par le cardinal Marc Ouellet, qui l’avait approché en 2013 pour succéder au pape Benoît XVI. XVI. Au moment des faits allégués, la victime était âgée de 23 ans. « Si quelqu’un a pu dénoncer le cardinal Ouellet, pourquoi ne pourrais-je pas dénoncer mon curé ? « Commence l’avocat Alain Arsenault, qui représente les victimes présumées dans ce recours collectif, dont le nombre devrait croître dans les prochaines semaines, prédit-il. “Plus on parlera, plus on donnera d’exemples et plus on convaincra les victimes de sortir du placard”, croit aussi la représentante de l’Association des jeunes victimes de l’Église, Susan Tremblay. “Nous venons d’ouvrir la boîte de Pandore et cela va continuer dans les mois à venir”, prédit-il. Au final, “je pense que tous les diocèses vont le passer”, lance le représentant des victimes d’agressions sexuelles par des prêtres, Roger Lessard, qui espère aussi qu’en plus des excuses, l’Eglise indemnisera financièrement les victimes, “et rapidement”.
11 plaintes, 22 victimes
L’ombudsman Marie Christine Kirouack, qui a été embauchée par l’archidiocèse de Montréal en mai 2021 pour enquêter sur des allégations d’abus du clergé, a publié mercredi son quatrième rapport depuis son entrée en fonction. Celle-ci compile un recensement au 31 juillet 2022. L’ombudsman rapporte qu’elle a référé à un comité consultatif 11 plaintes impliquant autant de membres du clergé qu’elle en avait personnellement reçues initialement. Ces allégations impliquent “au moins 22 victimes” qui auraient été agressées sexuellement. Quatre d’entre eux étaient mineurs au moment des sévices allégués. Près de la moitié des événements présumés ont eu lieu dans les années 1990. “Maintenant et à l’exception des orphelins de Duplessis, les événements évoqués sont plus contemporains”, note Me Kirouak. Dans tous les cas, les agresseurs présumés sont des membres du clergé “qui étaient actifs ou qui en avaient encore la capacité” au moment du dépôt de la plainte auprès du Médiateur, précise ce dernier au Médiateur. Doit être. Les victimes qui se manifestent sont aussi de plus en plus des adultes, note-t-il.
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title: " Les Appels Se Multiplient Apr S Les All Gations Contre Le Cardinal Marc Ouellet Klmat" ShowToc: true date: “2022-10-29” author: “Tyrone Epstein”
“Les appels se multiplient”, confie-t-il à Doit être la médiatrice de l’Archidiocèse de Montréal, Marie Christine Kirouack; Dans une entrevue mercredi, elle a déclaré avoir reçu au moins quatre «plaintes officielles» de femmes qui ont décidé de signaler les abus sexuels qu’elles prétendent avoir subis de la part de membres du clergé catholique à Montréal après avoir pris connaissance des «allégations importantes qui ont été faites». public mardi concernant le cardinal Marc Ouellet. “J’ai eu des femmes qui m’ont contacté pour me dire : ‘Elle avait le cran, je vais le faire’”, confie Me Kirouack à Doit êtrequi note ainsi que les accusations portées contre M. Ouellet, qui ne fait pas face à des accusations criminelles, ont eu un « effet domino ». Le devoir a tenté de contacter les principales métropoles à travers le Québec pour savoir si elles avaient constaté une augmentation des plaintes depuis mardi, mais seules celles de Sherbrooke et de Gatineau ont répondu à notre demande, affirmant n’avoir reçu aucune plainte pendant cette période. L’archevêque de Montréal, M. Christian Lépine, invite pour sa part « toute personne qui désire communiquer avec l’ombudsman » de son organisation. “Trop de gens ont vécu trop longtemps en silence sur les événements qui ont bouleversé leur vie”, a-t-il écrit dans un communiqué envoyé à Doit être. Dans le cadre d’un recours collectif contre le diocèse de Québec déposé mardi devant la cour de Québec, une jeune femme identifiée comme “F” témoigne avoir été agressée sexuellement en 2008 par le cardinal Marc Ouellet, qui l’avait approché en 2013 pour succéder au pape Benoît XVI. XVI. Au moment des faits allégués, la victime était âgée de 23 ans. « Si quelqu’un a pu dénoncer le cardinal Ouellet, pourquoi ne pourrais-je pas dénoncer mon curé ? « Commence l’avocat Alain Arsenault, qui représente les victimes présumées dans ce recours collectif, dont le nombre devrait croître dans les prochaines semaines, prédit-il. “Plus on parlera, plus on donnera d’exemples et plus on convaincra les victimes de sortir du placard”, croit aussi la représentante de l’Association des jeunes victimes de l’Église, Susan Tremblay. “Nous venons d’ouvrir la boîte de Pandore et cela va continuer dans les mois à venir”, prédit-il. Au final, “je pense que tous les diocèses vont le passer”, lance le représentant des victimes d’agressions sexuelles par des prêtres, Roger Lessard, qui espère aussi qu’en plus des excuses, l’Eglise indemnisera financièrement les victimes, “et rapidement”.
11 plaintes, 22 victimes
L’ombudsman Marie Christine Kirouack, qui a été embauchée par l’archidiocèse de Montréal en mai 2021 pour enquêter sur des allégations d’abus du clergé, a publié mercredi son quatrième rapport depuis son entrée en fonction. Celle-ci compile un recensement au 31 juillet 2022. L’ombudsman rapporte qu’elle a référé à un comité consultatif 11 plaintes impliquant autant de membres du clergé qu’elle en avait personnellement reçues initialement. Ces allégations impliquent “au moins 22 victimes” qui auraient été agressées sexuellement. Quatre d’entre eux étaient mineurs au moment des sévices allégués. Près de la moitié des événements présumés ont eu lieu dans les années 1990. “Maintenant et à l’exception des orphelins de Duplessis, les événements évoqués sont plus contemporains”, note Me Kirouak. Dans tous les cas, les agresseurs présumés sont des membres du clergé “qui étaient actifs ou qui en avaient encore la capacité” au moment du dépôt de la plainte auprès du Médiateur, précise ce dernier au Médiateur. Doit être. Les victimes qui se manifestent sont aussi de plus en plus des adultes, note-t-il.
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title: " Les Appels Se Multiplient Apr S Les All Gations Contre Le Cardinal Marc Ouellet Klmat" ShowToc: true date: “2022-11-24” author: “Robert Hill”
“Les appels se multiplient”, confie-t-il à Doit être la médiatrice de l’Archidiocèse de Montréal, Marie Christine Kirouack; Dans une entrevue mercredi, elle a déclaré avoir reçu au moins quatre «plaintes officielles» de femmes qui ont décidé de signaler les abus sexuels qu’elles prétendent avoir subis de la part de membres du clergé catholique à Montréal après avoir pris connaissance des «allégations importantes qui ont été faites». public mardi concernant le cardinal Marc Ouellet. “J’ai eu des femmes qui m’ont contacté pour me dire : ‘Elle avait le cran, je vais le faire’”, confie Me Kirouack à Doit êtrequi note ainsi que les accusations portées contre M. Ouellet, qui ne fait pas face à des accusations criminelles, ont eu un « effet domino ». Le devoir a tenté de contacter les principales métropoles à travers le Québec pour savoir si elles avaient constaté une augmentation des plaintes depuis mardi, mais seules celles de Sherbrooke et de Gatineau ont répondu à notre demande, affirmant n’avoir reçu aucune plainte pendant cette période. L’archevêque de Montréal, M. Christian Lépine, invite pour sa part « toute personne qui désire communiquer avec l’ombudsman » de son organisation. “Trop de gens ont vécu trop longtemps en silence sur les événements qui ont bouleversé leur vie”, a-t-il écrit dans un communiqué envoyé à Doit être. Dans le cadre d’un recours collectif contre le diocèse de Québec déposé mardi devant la cour de Québec, une jeune femme identifiée comme “F” témoigne avoir été agressée sexuellement en 2008 par le cardinal Marc Ouellet, qui l’avait approché en 2013 pour succéder au pape Benoît XVI. XVI. Au moment des faits allégués, la victime était âgée de 23 ans. « Si quelqu’un a pu dénoncer le cardinal Ouellet, pourquoi ne pourrais-je pas dénoncer mon curé ? « Commence l’avocat Alain Arsenault, qui représente les victimes présumées dans ce recours collectif, dont le nombre devrait croître dans les prochaines semaines, prédit-il. “Plus on parlera, plus on donnera d’exemples et plus on convaincra les victimes de sortir du placard”, croit aussi la représentante de l’Association des jeunes victimes de l’Église, Susan Tremblay. “Nous venons d’ouvrir la boîte de Pandore et cela va continuer dans les mois à venir”, prédit-il. Au final, “je pense que tous les diocèses vont le passer”, lance le représentant des victimes d’agressions sexuelles par des prêtres, Roger Lessard, qui espère aussi qu’en plus des excuses, l’Eglise indemnisera financièrement les victimes, “et rapidement”.
11 plaintes, 22 victimes
L’ombudsman Marie Christine Kirouack, qui a été embauchée par l’archidiocèse de Montréal en mai 2021 pour enquêter sur des allégations d’abus du clergé, a publié mercredi son quatrième rapport depuis son entrée en fonction. Celle-ci compile un recensement au 31 juillet 2022. L’ombudsman rapporte qu’elle a référé à un comité consultatif 11 plaintes impliquant autant de membres du clergé qu’elle en avait personnellement reçues initialement. Ces allégations impliquent “au moins 22 victimes” qui auraient été agressées sexuellement. Quatre d’entre eux étaient mineurs au moment des sévices allégués. Près de la moitié des événements présumés ont eu lieu dans les années 1990. “Maintenant et à l’exception des orphelins de Duplessis, les événements évoqués sont plus contemporains”, note Me Kirouak. Dans tous les cas, les agresseurs présumés sont des membres du clergé “qui étaient actifs ou qui en avaient encore la capacité” au moment du dépôt de la plainte auprès du Médiateur, précise ce dernier au Médiateur. Doit être. Les victimes qui se manifestent sont aussi de plus en plus des adultes, note-t-il.
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title: " Les Appels Se Multiplient Apr S Les All Gations Contre Le Cardinal Marc Ouellet Klmat" ShowToc: true date: “2022-11-04” author: “Ashley Oneal”
“Les appels se multiplient”, confie-t-il à Doit être la médiatrice de l’Archidiocèse de Montréal, Marie Christine Kirouack; Dans une entrevue mercredi, elle a déclaré avoir reçu au moins quatre «plaintes officielles» de femmes qui ont décidé de signaler les abus sexuels qu’elles prétendent avoir subis de la part de membres du clergé catholique à Montréal après avoir pris connaissance des «allégations importantes qui ont été faites». public mardi concernant le cardinal Marc Ouellet. “J’ai eu des femmes qui m’ont contacté pour me dire : ‘Elle avait le cran, je vais le faire’”, confie Me Kirouack à Doit êtrequi note ainsi que les accusations portées contre M. Ouellet, qui ne fait pas face à des accusations criminelles, ont eu un « effet domino ». Le devoir a tenté de contacter les principales métropoles à travers le Québec pour savoir si elles avaient constaté une augmentation des plaintes depuis mardi, mais seules celles de Sherbrooke et de Gatineau ont répondu à notre demande, affirmant n’avoir reçu aucune plainte pendant cette période. L’archevêque de Montréal, M. Christian Lépine, invite pour sa part « toute personne qui désire communiquer avec l’ombudsman » de son organisation. “Trop de gens ont vécu trop longtemps en silence sur les événements qui ont bouleversé leur vie”, a-t-il écrit dans un communiqué envoyé à Doit être. Dans le cadre d’un recours collectif contre le diocèse de Québec déposé mardi devant la cour de Québec, une jeune femme identifiée comme “F” témoigne avoir été agressée sexuellement en 2008 par le cardinal Marc Ouellet, qui l’avait approché en 2013 pour succéder au pape Benoît XVI. XVI. Au moment des faits allégués, la victime était âgée de 23 ans. « Si quelqu’un a pu dénoncer le cardinal Ouellet, pourquoi ne pourrais-je pas dénoncer mon curé ? « Commence l’avocat Alain Arsenault, qui représente les victimes présumées dans ce recours collectif, dont le nombre devrait croître dans les prochaines semaines, prédit-il. “Plus on parlera, plus on donnera d’exemples et plus on convaincra les victimes de sortir du placard”, croit aussi la représentante de l’Association des jeunes victimes de l’Église, Susan Tremblay. “Nous venons d’ouvrir la boîte de Pandore et cela va continuer dans les mois à venir”, prédit-il. Au final, “je pense que tous les diocèses vont le passer”, lance le représentant des victimes d’agressions sexuelles par des prêtres, Roger Lessard, qui espère aussi qu’en plus des excuses, l’Eglise indemnisera financièrement les victimes, “et rapidement”.
11 plaintes, 22 victimes
L’ombudsman Marie Christine Kirouack, qui a été embauchée par l’archidiocèse de Montréal en mai 2021 pour enquêter sur des allégations d’abus du clergé, a publié mercredi son quatrième rapport depuis son entrée en fonction. Celle-ci compile un recensement au 31 juillet 2022. L’ombudsman rapporte qu’elle a référé à un comité consultatif 11 plaintes impliquant autant de membres du clergé qu’elle en avait personnellement reçues initialement. Ces allégations impliquent “au moins 22 victimes” qui auraient été agressées sexuellement. Quatre d’entre eux étaient mineurs au moment des sévices allégués. Près de la moitié des événements présumés ont eu lieu dans les années 1990. “Maintenant et à l’exception des orphelins de Duplessis, les événements évoqués sont plus contemporains”, note Me Kirouak. Dans tous les cas, les agresseurs présumés sont des membres du clergé “qui étaient actifs ou qui en avaient encore la capacité” au moment du dépôt de la plainte auprès du Médiateur, précise ce dernier au Médiateur. Doit être. Les victimes qui se manifestent sont aussi de plus en plus des adultes, note-t-il.